L'Association française pour le nommage Internet en coopération (AFNIC) renforce la protection de la base whois du '.fr'. Celle-ci permet au public d'obtenir des informations sur une adresse IP ou un nom de domaine pour connaître sa disponibilité (titulaire, date de dépôt, contacts administratif et technique, serveurs). Face aux abus, les règles d'accès à cette base ont été révisées par le conseil d'administration de l'association chargée des noms de domaine Internet français et réunionnais.
Avec 2,5 millions d'adresses Internet enregistrées un an après son lancement grand public, le '.eu' est le septième nom de domaine le plus demandé au niveau mondial et le troisième au niveau européen, derrière le '.de' allemand (10 millions) et le '.uk' britannique (5 millions). D'après les chiffres communiqués par la Commission européenne mercredi, seuls 6% des adresses Internet en '.eu' ont été enregistrées en France.
Gestionnaire de noms de domaine Internet, annonce l'augmentation prochaine des tarifs d'enregistrement des '.com' et '.net'. A partir du 15 octobre 2007, le prix facturé aux « registrars » à travers le monde passera de 6 à 6,42 dollars pour un '.com', et de 3,50 à 3,85 dollars pour un '.net'. Cette hausse, la première depuis 1999, est influencée par « l'augmentation du volume de trafic Internet et des requêtes DNS (Domain Name System) », indique VeriSign dans un communiqué. Elle est surtout le fruit d'un accord signé l'an dernier entre la firme américaine et l'ICANN, organisation de supervision du Net et des noms de domaine créée en 1998 à l'initiative du Département américain du commerce.
L'Icann (Internet Corporation for Assigned Names and Numbers), organisation à but non lucratif qui gère l'adressage des noms de domaine et leurs célèbres extensions thématiques ou régionales, a finalement décidé de rejeter la création de l'extension .xxx pour les sites Internet.
L'Association française pour le nommage Internet en coopération (AFNIC), chargée de l'administration des noms de domaine Internet français (.fr) et réunionnais .re), et la société d'enregistrement EuroDNS mettent fin au litige qui les opposait depuis 2004.
Tous mobinautes ? L'extension « . mobi », destinée aux sites Web adaptés à la consultation depuis un appareil mobile comme un téléphone ou un PDA, serait déjà utilisée par plus de 400.000 noms de domaine, indique la société mTLD (Mobile Top Level Domain, surnommée dotMobi), chargée de sa gestion. L'extension .mobi est soutenue par bon nombre d'acteurs de l'industrie mobile qui souhaitent voir se développer les sites spécifiquement conçus pour les appareils communicants.
Dans un communiqué de presse diffusé en fin de semaine dernière, l'Afnic (Association française pour le nommage Internet en coopération) réagit à la publication au Journal Officiel, le 8 février dernier, d'un décret relatif à l'attribution et à la gestion des noms de domaine. Elle regrette que les mesures préconisées par ce décret n'aient pas fait l'objet d'une concertation avec les acteurs concernés, et compte saisir le ministre de l'industrie, François Loos.
Verrons-nous finalement un jour des noms de domaine terminés en « .xxx » ? Evincée des débats en mai 2006, l'extension destinée aux sites pornographiques pourrait prochainement revenir animer les débats de l'Icann (Internet Corporation for Assigned Names and Numbers). L'organisme chargé de la régulation des noms de domaine au niveau mondial vient en effet de publier une nouvelle version du contrat potentiellement destiné à réguler le .xxx. Ouverte aux commentaires jusqu'au 5 février, cette nouvelle version sera ensuite discutée en interne au sein de l'Icann, qui décidera s'il convient ou non de mettre en place cette nouvelle extension, ou TLD (Top-Level Domain).
Arthur KANNASDirecteur de HEAVEN, Arthur KANNAS présente l'activité de son agence Il revient notamment sur son réseau de blogueurs influents et sur la question de leur relation avec les marques.
L'univers des télécommunications asiatique est en pleine ébullition suite aux deux séismes qui ont frappé Taïwan et sa région le 26 décembre. Alors que les différents services en ligne et plateformes financières ont rapidement repris du service, un certain nombre de dommages collatéraux émergent encore aujourd'hui. Ainsi le China International Network Information Center annonce-t-il la perte d'environ dix mille noms de domaine chinois dotés de l'extension internationale « .com ».
La tutelle exercée par le département du Commerce américain sur l'Icann, organisation à but non lucratif chargée de l'adressage des noms de domaine (DNS) et de leurs extensions, est une nouvelle fois remise en question. Afin de lever les soupçons qui pèsent sur son administration, l'Internet Corporation for Assigned Names and Numbers vient d'annoncer qu'elle ferait l'objet d'une « enquête de transparence » menée par l'organisation britannique One World Trust.
La spéculation sur les noms de domaine reprend. Le groupe Russian Standard fondée par le milliardaire Roustam Tariko et spécialisé dans la vente de spiritueux, vient de racheter le nom de domaine Vodka.com pour plus de 3 millions de dollars. Le nom du vendeur n'est pas connu.
Après les applications en ligne : le nom de domaine. Face à l'offre Office Live de Microsoft, qui propose gratuitement un nom de domaine à ses utilisateurs Google vient d'annoncer qu'il allait à son tour proposer ce service à ses clients professionnels.
Loin derrière le '.de' allemand, le nom de domaine français affiche à ce jour 693.885 sites à ses couleurs, dont 120.000 déposés par des particuliers.
L'Afnic va supprimer puis remettre dans le domaine public, le 5 décembre 2006, plus de 8300 noms de domaine en '.fr' détenus par Guillaume.net / ZioConcept.net.
Depuis le 20 juin 2006, date de l'ouverture officielle du « .fr » aux particuliers, plus de 100 000 personnes auraient enregistré un nom de domaine doté de cette extension, affirme cette semaine l'Afnic (Association française pour le nommage Internet en coopération) dans un communiqué. A ce jour, près de 670 000 sites utiliseraient l'extension « .fr » sur le Web.
Selon l'Afnic, moins de 680.000 sites Internet, dont 100.000 enregistrés par des particuliers, utilisent le nom de domaine français à ce jour.
Projet du "lobby onusien" en faveur d'une gouvernance internationale du Réseau, l'Internet Governance Forum (IGF) a ouvert sa première réunion en Grèce.
La tutelle exercée par les Etats-Unis sur l'Icann (Internet Corporation for Assigned Names and Numbers), organisation à but non lucratif qui gère l'adressage des noms de domaine et leurs célèbres extensions thématiques ou régionales, est loin de faire l'unanimité. Contre l'avis général, le département du Commerce américain vient finalement de renouveler pour trois ans le lien qui l'unit à l'Icann, mais les modalités de cet accord ont été revues pour accorder une plus grande latitude d'action à l'organisation. En route vers l'autonomie ?
Les Etats-Unis se disent prêts à limiter leur influence sur l'ICANN, organisation de supervision du Net et des noms de domaine. L'Union européenne respire.
Lancé au printemps dernier, l'extension .mobi est désormais accessible auprès du grand public après avoir séduit plus de 10.000 marques et 2.000 associations.
Lancé au printemps dernier, l'extension .mobi est désormais accessible directement auprès du grand public après avoir séduit plus de 10.000 marques et 2.000 associations.
Washington négocie l'extension de son accord, révisé le 30 septembre prochain, avec l'ICANN, organisation de supervision du Net et des noms de domaine.
Après le "cybersquatting", l'Association française pour le nommage Internet en coopération met en garde contre un autre type de fraude : le "slamming".
Lancé au printemps dernier, l'extension .mobi aurait déjà suit plus de 10.000 marques et 2.000 associations qui auraient réservé leur nom de domaine
Microsoft porte plainte contre des individus accusés d'avoir enregistré des noms de domaine reprenant ses marques déposées pour détourner le trafic.
Sans surprise, l'Icann (Internet Corporation for Assigned Names and Numbers), organisation à but non lucratif qui gère l'adressage des noms de domaine et leurs célèbres extensions (.com, .net, etc.) a renouvelé mardi le contrat qui la lie au département du Commerce américain. Les termes de ce contrat sont suffisamment vastes pour que l'on puisse raisonnablement penser que l'Icann restera sous contrôle américain, contrairement aux voeux de la communauté internationale, qui désire que l'administration du Web mondial soit confiée à une administration internationale comme l'Organisation des Nations Unies (ONU).
Organisation de supervision du Net créée à l'initiative des Etats-Unis, l'ICANN va conserver ses prérogatives sur la gestion des noms de domaine jusqu'en 2011.
80.000 particuliers ont enregistré un site en '.fr' depuis le 20 juin dernier, date de l'ouverture de l'extension au grand public, a indiqué l'AFP.