Le spécialiste américain de l'enregistrement de noms de domaine, , propose 180 langues supplémentaires sur le Net.
L'ICANN limite le droit de gestion des extensions de noms de domaine en .org et .net de , qui conserve néanmoins ses prérogatives sur le .com.
En matière de régulation du réseau, l'Union Européenne s'engage et souhaite que l'ICANN ouvre ses portes aux représentants des 5 continents.
Lors d'une réunion à Melbourne, l'ICANN évite les sujets brûlants et se concentre sur les attentes de l'internaute.
Les noms de domaine avec accents sont à vendre depuis lundi. Victoire des pays non-anglophones sur Internet ou triomphe du Big Business ?
L'OMPI a annoncé son ambition de devenir l'instance internationale gérant les litiges relatifs aux noms de domaine nationaux.
Les responsables de l'ICANN sont à Washington pour répondre aux questions de la Chambre des Représentants à propos de la procédure d'attribution de nouveaux noms de domaine.
La société française de création et d'hébergement de sites web Integra amultiplié par six son chiffre d'affaires à 50,99 millions d'eurosIntegra, le spécialiste de l'hébergement de sites de commerce électronique,a annoncé un chiffre d'affaires annuel de 5
Suite à des retards de paiement de plusieurs milliers de francs, l'hébergeur américain Interliant a décidé de fermer l'accès à tous les sites de DigiWeb, y compris le célèbre PopList.
nFactory a choisi le groupe cdtel pour le développement de WMP, une solution clés en main de création, de publication et d'hébergement de sites médias spécialisés en mode locatif (ASP)
The Internet Corporation for Assigned Names and Numbers, alias l'ICANN, étudierait le lancement de noms de domaines dédiés au programmes internet pour les enfants.
A quelques jours de l'élection des membres du bureau de l'ICANN, "The Internet Corporation for Assigned Names and Numbers", Bernard BENHAMOU, l'un des candidats français a bien voulu nous en dire plus sur cette organisation et sur sa vision du Net.
Le conseil constitionnel a décidé d'annuler l'une des dispositions de la loi sur la communication, limtant ainsi la responsabilité des hébergeurs de sites internet.
Hit-Parade, un service proposant un compteur de visites aux webmestres, publie un classement des hébergeurs gratuits. Bien que ce classement se limite aux 26 744 sites inscrits au hit parade et non à l'ensemble de l'internet francophone, il fournit une information relativement pertinente sur la répartition des hébergeurs de "pages perso". Multimania est largement premier avec une part de marché de 27.58%. Second, le groupe LibertySurf avec Chez.com, LibertySurf et RESpublica atteint une PDM cumulée de 14.37%. Suivent les groupes avec Wanadoo (11.21%), VivendiNet avec iFrance et LeVillage (9.06%) ou encore avec GeoCities (5.12%). Le classement révèle que les hébergeurs "purs" comme Multimania, Chez, iFrance, GeoCities ou CiteWeb ont beaucoup plus de succès que les services d'hébergement des fournisseurs d'accès (Wanadoo, Free, Club-Internet, AOL, etc..). Citeweb, site indépendant, dispose d'ailleurs d'une excellente position compte tenu de ses faibles moyens financiers ou commerciaux. Une future proie pour les géants de la NetEconomie Française ?
En pleine campagne électorale pour la Mairie de Paris, le député du 15e arrondissement, Edouard Balladur a visiblement cherché à donner un coup de jeune à son image en proposant aux parisiens de se connecter à un site web reprennant son programme intitulé "Emancipez-paris.com". Misant visiblement sur l'effet d'annonce plus que sur la réalité du projet, le cher député a, semble t'il, oublié de prendre la précaution de réserver le fameux nom de domaine qu'une autre agence (appelée "L'Enchanteur.net" ) s'est empressée de réserver en affichant, avec un brin de malice, le message suivant : "où t'es doudou ? Vous n'êtes pas sur le site de la campagne municipale d'Edouard Balladur. Cher lecteur d'un fameux journal du soir, vous vous intéressez à l'Internet et à la politique, ne faites pas comme Edouard Balladur, pensez à acheter un nom de domaine avant de faire des effets d'annonce.". Décidemment, les hommes politiques ont bien du mal à être crédibles en matière d'Internet et de Neteconomie ...
Les différentes batailles judiciaires liées aux questions de l'hébergement de pages perso semblent aboutir à une solution pour le moins complexe à appliquer. D'une part, les hébergeurs devront réagir de façon "diligente" en cas de doute sur la légalité d'un site. Solution qui risque d'aboutir, pour des raisons de facilité, à une sorte d'auto censure systématique de la part des sites d'hébergement. Autre point, la question de l'identification. Le parlement envisage de punir de 50 000 francs d'amende une fausse déclaration d'identité (par les internautes) et de 50 000 francs + 6 mois d'emprisonnement les hébergeurs ne pouvant fournir à l'autorité judiciaire ces mêmes informations. Cette mesure signifie que tous les hébergeurs français vont désormais devoir envoyer des clés d'activation par la poste pour l'ouverture de pages perso. Autant dire que cette activité va être profondément pénalisée par cette loi unique au monde et que les internautes français auront vite fait de basculer sur des serveurs étrangers, à moins que ce ne soit tout simplement nos propres entreprises qui déménagent...