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L'OMPI a annoncé son ambition de devenir l'instance internationale gérant les litiges relatifs aux noms de domaine nationaux.
La conférence de l'OMPI consacrée aux noms de domaine a réuni 500 personnes, personnalités politiques, responsables de sites web, juristes et informaticiens. L'Organisation mondiale de la propriété intellectuelle, organisme des Nations Unies installé à Genève, qui s'occupe déjà des litiges liés aux noms de domaine génériques (.com, .net, .org, etc.) a annoncé à cette occasion son ambition de devenir l'instance internationale d'arbitrage et de lutte contre le cyber squatting des noms de domaine nationaux (.fr ou .uk par exemple). Lors de la réunion, Francis Gurry, sous-directeur général et conseiller juridique de l'Organisation, a signalé que les suffixes nationaux représentent à l'heure actuelle 27 % du total des adresses enregistrées sur Internet, contre 11 % en 1996. Francis Gurry a ajouté : "Nous essayons de montrer aux organismes d'enregistrement des noms de domaine nationaux qu'il est dans leur intérêt de s'entendre sur une procédure uniforme de résolution des litiges." Dans leur intérêt seulement ? 7 000 nouvelles adresses sont enregistrées chaque jour auprès des différents organismes nationaux, les enjeux commerciaux liés à la résolution des litiges internationaux sont énormes. Aujourd'hui 20 millions d'adresses web seraient enregistrées et ce chiffre pourrait atteindre 250 millions dans les trois ans à venir. L'OMPI attend pour le 30 avril prochain les réactions de 244 organismes nationaux d'attribution de noms de domaine, 18 ont déjà reconnu l'Organisation comme institution officielle de règlement des litiges.
La conférence de l'OMPI consacrée aux noms de domaine a réuni 500 personnes, personnalités politiques, responsables de sites web, juristes et informaticiens. L'Organisation mondiale de la propriété intellectuelle, organisme des Nations Unies installé à Genève, qui s'occupe déjà des litiges liés aux noms de domaine génériques (.com, .net, .org, etc.) a annoncé à cette occasion son ambition de devenir l'instance internationale d'arbitrage et de lutte contre le cyber squatting des noms de domaine nationaux (.fr ou .uk par exemple). Lors de la réunion, Francis Gurry, sous-directeur général et conseiller juridique de l'Organisation, a signalé que les suffixes nationaux représentent à l'heure actuelle 27 % du total des adresses enregistrées sur Internet, contre 11 % en 1996. Francis Gurry a ajouté : "Nous essayons de montrer aux organismes d'enregistrement des noms de domaine nationaux qu'il est dans leur intérêt de s'entendre sur une procédure uniforme de résolution des litiges." Dans leur intérêt seulement ? 7 000 nouvelles adresses sont enregistrées chaque jour auprès des différents organismes nationaux, les enjeux commerciaux liés à la résolution des litiges internationaux sont énormes. Aujourd'hui 20 millions d'adresses web seraient enregistrées et ce chiffre pourrait atteindre 250 millions dans les trois ans à venir. L'OMPI attend pour le 30 avril prochain les réactions de 244 organismes nationaux d'attribution de noms de domaine, 18 ont déjà reconnu l'Organisation comme institution officielle de règlement des litiges.
