L'interminable déferlante de nouveaux appareils photos n'en finit pas, avec une nouvelle annonce de Pentax. Après avoir annoncé un compact à double déclencheur il y a deux semaines (le VS20), la filiale de Ricoh annonce aujourd'hui le renouvellement de son compact baroudeur, à l'esthétique encore plus originale, voire caricaturale.
L'« Optio WG2 » succède donc au WG1, annoncé il y a un jour pour jour, en apportant principalement une plus grande robustesse et un « look paré à toute épreuve ». Le nouveau venu est désormais étanche jusqu'à 12 mètres, contre 10 auparavant. La résistance aux chocs (1,5 mètre), à la pression (100 kg force) et au froid (-10°C) sont en revanche inchangés. Pour autant, l'ajout d'aspérités sur la coque limitera les rayures tout en les noyant dans l'esthétique chargée.
C'est finalement sur le plan technique que le « WG2 » bénéficie de la plus grande évolution. Il abandonne pour commencer le capteur CCD de 14 millions de pixels de son prédécesseur au profit d'un capteur CMOS rétro-exposé de 16 millions de pixels, nettement plus efficace en haute sensibilité, puisqu'il atteint désormais 6400 ISO en pleine définition, contre seulement 1600.
La vidéo passe quant à elle de la HD 720/30p au Full HD 1080/30p ou à la HD 720/60p, au format H.264 mais avec son mono.
L'écran s'améliore également en passant de 2,7 pouces et 230 400 malheureux points à 3 pouces et 460 800 points.
Le zoom en revanche n'a pas évolué en deux renouvellements, on retrouve donc l'éternel zoom périscopique 5x équivalent 28-140 mm f/3,5-5,5, toujours cerclé de cinq LED remplaçant le flash en macro.
Le « Pentax Optio WG2 » sera commercialisé en France à partir de la mi-mars au prix public de 300 euros. Le « WG2-GPS », qui ne se démarque que par l'intégration d'un GPS, sera lancé au même moment pour 350 euros.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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