Samsung a annoncé jeudi le renouvellement de son entrée de gamme dans le domaine de la photo, après avoir réservé le CES au hautdegamme. Le géant de l'électronique sud-coréen a effectivement attendu la seconde moitié du mois de janvier pour annoncer quatre compacts traditionnels à bas prix.
Samsung ST30
Le « ST30 » est le premier prix du fabricant mais il n'en revendique pas moins des dimensions inférieures à celles d'une carte de crédit, pour une épaisseur de 16,9 mm.
Son boitier métallique ultra-compact se contente pour ce faire d'un capteur CCD de 1/3 de pouce, entassant 10 millions de pixels sur une surface encore plus microscopique qu'un capteur traditionnel. Son zoom s'en tient quant à lui à une amplitude de 3 fois, mais il reste assez grand angle avec une équivalence de 28 mm. Destiné aux débutants, il intègre enfin de nombreux automatismes, à commencer par la fonction « Smart Auto » de détection automatique de mode scène.
Le « Samsung ST30 » sera lancé en France à la fin du mois de mars au prix public de 100 euros.
Samsung ST95, ST90 et ST65
Ces trois modèles arborent une fiche technique proche, pour un tarif s'échelonnant de 120 à 150 euros.
Le « ST65 » abrite un capteur de 1/2,33 pouce à 14 millions de pixels grimpant à 3200 ISO et filmant en haute définition 720p au format MotionJPEG, et son zoom 5 fois démarre à 27 mm.
Le « ST90 » hérite du même capteur mais bénéficie d'un zoom offrant légèrement plus de recul (26 mm) et d'automatismes améliorés.
Le « ST95 » grimpe enfin à 16 millions de pixels, ce qui serait plutôt un contre argument compte-tenu de la surface inchangée du capteur. Il s'articule autour d'un écran tactile de 3 pouces affichant l'interface « Smart Touch 3.0 ». Il filme enfin au format H.264, de meilleur qualité tout en étant moins gourmand en espace de stockage.
Ces trois appareils photo seront commercialisés en France dès fin février.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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