Prixtel a annoncé qu'il commercialiserait à partir du 14 novembre un appareil photo connecté, baptisé « theQ », associé à une offre d'Internet mobile.
100 x 65 x 16 mm pour 132 g
Prixtel présente le theQ comme « le premier appareil photo connecté » alors que plusieurs appareils tels que le Samsung Galaxy Camera l'ont devancé il y a un an. C'est en revanche le premier à n'être pourvu que d'une connectivité 3G, c'est-à-dire à être dépourvu d'une connectivité Wi-Fi. Pour en profiter, il faut donc se procurer une seconde carte SIM, ce que Prixtel ne propose malheureusement pas, ou bien souscrire un nouveau contrat, tel que le forfait Modulo Tab facturé 5 à 20 euros/mois pour 100 Mo à 2 Go.
Le theQ présente malheureusement peu d'intérêt par rapport à la fonction appareil photo d'un smartphone. Il mise sur son étanchéité à 1 m (IP67) mais aussi sur son extrême simplicité. Une première pression sur un bouton transfère le cliché sur une plateforme dédiée, une seconde le partage sur des réseaux sociaux préconfigurés comme Facebook, Twitter, Google+ ou Tumblr. Naturellement des filtres, au nombre de neuf, sont proposés.
Le Lomo de l'ère smartphone
L'appareil abrite par ailleurs un capteur de smartphone de 5 millions de pixels, probablement moins performant que celui de la plupart des smartphones contemporains, surmonté d'un objectif à mise au point manuelle équivalent à un 24 mm f/2,4. Celui-ci est entouré d'un « ring flash » (flash circulaire) à 8 LED qui sert également à indiquer le temps restant en mode retardateur.
Enfin, un trou dans sa coque fait office de « viseur », et on trouve un écran QVGA (320 x 240 pixels) de 2,7 pouces, 2 Go de mémoire (1000 photos) et une batterie Li-polymer de 800 mAh permettant de déclencher 200 fois.
Prixtel commercialisera donc en exclusivité le theQ à partir du 14 novembre, au prix public de 200 euros, auquel il faudra ajouter les 5 euros/mois d'un forfait Modulo Tab sans engagement.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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