Wacom a annoncé hier le renouvellement de sa famille de tablettes graphiques grand public « Bamboo ». Le nouveau quatuor apporte principalement une mise à niveau esthétique, en mettant notamment l'accent sur l'amincissement du cadre, tout en inaugurant une option sans fil.
La segmentation de la famille « Bamboo » est effectivement inchangée :
« Bamboo Pen », ne prenant en charge que le stylet et la connexion filaire.
« Bamboo Pen & Touch », prenant en charge l'option sans fil et dont la surface est également tactile multipoint.
« Bamboo Fun Pen & Touch S », livrée avec une suite logicielle plus fournie.
« Bamboo Fun Pen & Touch M », deux fois plus grande et donc deux fois plus onéreuse.
Si pour les deux « Bamboo » premiers prix la mise à niveau est donc purement cosmétique, les deux derniers modèles peuvent devenir sans fil en option, et c'est là leur principale avancée.
Wacom proposera pour ce faire un ensemble comprenant un émetteur à radiofréquence, s'enfichant en lieu et place du cordon micro USB initial, une batterie conférant 15 heures d'autonomie au petit modèle, 10 heures au grand, et naturellement un récepteur approprié, de forme compacte. La batterie se recharge au travers de la connexion par micro USB d'origine, à 85 % en 3,5 h et à 100 % en 6 h.
Les « Wacom Pen », « Fun » et « Create » seront tout prochainement commercialisées aux États-Unis pour respectivement 80, 100 et 200 dollars. Aucune information n'a pour l'heure été communiquée quant à l'Europe mais Wacom a pour habitude d'annoncer ses produits dans le monde entier à court intervalle.
Les « Wacom Pen », « Pen & Touch », « Fun S » et « Fun M » sont disponibles dès à présent en France aux prix publics respectifs de 60, 90, 100 et 200 euros. Le « kit d'accessoires sans fil » est quant à lui vendu 40 euros.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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