Linutop profite aujourd'hui du salon Solutions Linux pour renouveler son « micro-PC » éponyme. Présenté comme le successeur « plus puissant » du Linutop 2, le nouveau « Linutop 4 » n'est en fait qu'une variante plus compacte du Linutop 3 lancé il y a six mois.
Le « Linutop 4 » hérite effectivement entièrement de la fiche technique du 3. Il s'en tient donc à une plateforme d'ancienne génération, au lieu d'en profiter pour se mettre à jour. On retrouve un CPU mono-cœur Intel Atom N270 cadencé à 1,6 GHz, un GPU Intel GMA 950, 2 Go de mémoire vive DDR2 et 2 Go de mémoire flash.
La connectique comprend cinq ports USB 2.0 (un de moins), un port Ethernet Gigabit, une sortie VGA, une sortie DVI, deux sorties audio et une entrée micro.
L'ensemble bénéficie en contrepartie d'une consommation électrique et d'un encombrement réduits. Le boîtier robuste en métal passe de 23,5 x 23,5 x 5,5 cm pour 1,9 kg à 20,1 x 18,2 x 3,6 cm pour 936 g, soit un poids réduit de moitié, et de 20 à 14 W, soit une baisse sensible de 30 %.
Le Linutop 4 est naturellement livré avec le système d'exploitation maison Linutop 4.0, lancé simultanément au Linutop 3. Il est disponible dès à présent au prix de 400 euros HT (480 euros TTC), une somme pour un nettop d'ancienne génération. Les acheteurs bénéficient pour ce tarif d'un support destiné aux professionnels, mais certains pourront préférer acquérir l'OS séparément (80 euros HT) et l'installer pour un prix inférieur ou égal sur le nettop de leur choix.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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