À l'approche du réveillon du nouvel an, Spotify annonce une nouveauté fort à propos : Spotify Party. Avec cette fonction, l'application mobile devient un véritable DJ virtuel.
Spotify a lancé cette année Spotify Running, une fonction pour la course à pied qui adapte automatiquement la playlist à la cadence des foulées.
Dans ce prolongement, le service de musique à la demande étend ses capacités de DJ aux soirées dansantes. Avec la nouvelle fonction Spotify Party, l'application ne se contente pas d'enchainer les morceaux avec un fondu. Elle mixe les titres, en coordonnant les rythmes (beat-matching), comme le font les DJs. Ça n'a l'air de rien, mais on maintient mieux une ambiance ainsi qu'avec un blanc entre deux morceaux.
Mais un DJ ne se résume pas à la technique. Son savoir-faire est aussi et surtout de sentir son public et d'adapter sa playlist. L'application n'en est pas capable, mais elle offre un levier permettant d'ajuster l'ambiance, sur une échelle allant de « dîner relax » à « danse sur les tables ». L'application pioche au sein d'une playlist de départ, choisie dans un catalogue préparé spécifiquement par les « experts » de Spotify, ou par des artistes tels que le célèbre DJ et producteur Diplo.
Des applications telles que Djay Pro ou Pacemaker permettent depuis peu de mixer à partir du catalogue de Spotify. Mais ces applications sont payantes et elles n'offrent pas de mode automatique aussi pratique. Plus perfectionnées, elles s'adressent plutôt à ceux qui souhaitent être aux platines.
Spotify Party est déployé progressivement sur les applications Android et iOS. Aucun mot concernant le logiciel pour ordinateur.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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