La LG Watch Urbane 2 est une montre connectée dotée d'une connectivité 3G, qui la rend autonome et l'émancipe du smartphone.
En plus du LG V10, un étonnant smartphone à deux écrans et deux capteurs frontaux, LG a annoncé hier la LG Watch Urbane 2nd Edition. Cette nouvelle montre connectée succède à la fois à la Watch Urbane tout court et à la Watch Urbane LTE, deux produits plus différents que leurs noms ne le laissent penser.
La LG Watch Urbane 2 est la première montre Android Wear dotée d'une connectivité cellulaire. On peut donc la présenter comme la déclinaison cellulaire de la Watch Urbane, qui ne disposait que de Wi-Fi et de Bluetooth et n'était par conséquent que l'esclave d'un téléphone. Mais on peut aussi la présenter comme la déclinaison Android Wear de la Watch Urbane LTE, qui reposait sur webOS et se privait donc du vaste choix d'applications du Google Play Store.
Cette nouvelle montre embarque donc sa propre carte SIM et son propre modem. Il n'est que 3G, et non 4G comme sur le modèle LTE. Certes le très haut débit n'est pas utile sur une montre, mais la 4G apporte aussi une meilleure fiabilité. Quoi qu'il en soit, la Watch Urbane 2 s'émancipe. Connectée par ses propres moyens, elle devient autonome. Elle peut jouer de la musique, accéder à des services en ligne, échanger des messages et même passer des appels sans dépendre d'un téléphone. Elle fonctionne un peu comme fonctionnerait un second téléphone. Mais on ne sait pas encore comment le transfert d'appel fonctionne.
La seconde édition apporte par ailleurs quelles mises à niveau. L'écran P-OLED de 1,38 pouce de diamètre affiche désormais une définition de 480 x 480 pixels, contre 320 x 320 pixels sur la Watch Urbane. On retrouve la puce Qualcomm Snapdragon 400 et les 4 Go de mémoire interne, mais la mémoire vive LPDDR3 passe de 512 à 768 Mo. La batterie passe surtout de 410 à 570 mAh, ce qui porte en contrepartie l'épaisseur de 10,9 à 14,2 mm.
Cette LG Watch Urbane 2 sera disponible dans un premier temps en Corée-du-Sud et aux États-Unis, puis dans un second en Europe et dans le reste du monde. Mais aucune date précise ni aucun prix ne sont encore communiqués.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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