Pebble et Kickstarter, une histoire d'amour. En mai 2012 déjà, Pebble lançait sa première montre connectée, accumulant pour l'occasion plus de 10 millions de dollars. Un record à l'époque.
En renouvelant l'expérience du financement participatif pour sa Pebble Time, la marque a tout simplement doublé la participation : la page du projet affiche 20 338 986 dollars, investis par 78 471 personnes. À nouveau, un record. Il faut dire que dès la mise en ligne du projet, Pebble avait amassé un million de dollars en seulement 30 minutes.
Pourquoi un tel engouement pour cette montre ? Probablement grâce à son prix, puisqu'à 199 dollars, on est assez loin des tarifs des modèles sous Android Wear ou de ceux de l'Apple Watch. Car la Pebble Time ne fonctionne avec aucun de ces deux OS mobiles, mais sur un système développé en interne.
Autre particularité de cette montre : un affichage non tactile, à encre électronique, qui peut désormais afficher 64 couleurs. On est assez loin des écrans des autres montres connectées du commerce, mais cela s'en ressent côté autonomie : Pebble annonce une semaine, là où les autres appareils doivent être rechargés tous les soirs.
Véritable OVNI sur le marché des montres connectées, la Pebble Time attire donc ceux qui voient en cet objet autre chose que ce que veulent imposer Google et Apple. Ces 20 millions et les désormais 150 employés doivent lui permettre de poursuivre dans cette voie.
Mes domaines de prédilection ? Les ordinateurs portables et les SSD ! Mais de temps à autre, je m'autorise quelques infidélités pour des boîtiers, des alimentations ou des solutions de refroidissement, tests dont je suis particulièrement friand. Je déteste l'expression "Le mieux est l'ennemi du bien" (notamment lorsqu'il s'agit de rendre mon PC silencieux), les livreurs qui arrivent sans bordereau et les coups de pieds de Polo sous le bureau. J'aime réussir mes photos-produit, améliorer les protocoles de test et cocher la case "Public" de notre interface d'édition. Féru de football, je m'essaie également à la photographie à mes heures perdues et ne recule jamais devant une petite partie de poker. Le tout saupoudré de beaucoup, beaucoup de musique.
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