Asus annonce finalement le lancement en France du « PB278Q », un nouveau moniteur de 27 pouces qui rejoint les quelques modèles du marché dépassant la définition Full HD.
L'« Asus PB278Q » affiche effectivement, comme la dernière lettre de sa référence l'indique, une définition WQHD, le quadruple de la HD, soit 2560 x 1440 pixels. Alors que la plupart des écrans de 27 pouces (69 cm) se contentent d'offrir une plus grande surface d'affichage que tous ceux de 22 à 24 pouces, au détriment de leur résolution, celui-ci affiche 77 % de pixels de plus qu'un écran Full HD. Cette définition n'est à ce jour accessible que sur une telle diagonale.
Représentant de la famille PB, et non PA (ProArt), cet écran demeure haut de gamme en reposant sur une dalle PLS, une technologie dérivée de l'IPS, associée à une garantie zéro pixel défectueux. Le fabricant revendique ainsi une couverture totale de l'espace colorimétrique sRGB, mais ne communique pas celle de l'Adobe RGB, réservé aux professionnels. Il revendique également un taux de contraste dynamique extravagant (80 millions pour un), qui le discréditerait auprès de cette cible. Sa luminosité maximale de 300 cd/m² et son temps de réponse gris à gris de 5 ms sont quant à eux réalistes.
L'écran dispose d'entrées HDMI 1.4, DisplayPort 1.2, DVI Dual-Link et VGA (cette dernière plafonnant au Full HD), d'une entrée audio 3,5 mm, d'une sortie audio de même type, d'une paire de haut-parleurs de 3 W et d'un pied réglable en hauteur permettant de pivoter l'écran en portrait.
L'« Asus PB278Q » sera commercialisé en France fin septembre au prix public de 610 euros, ce qui l'inscrit dans la moyenne du segment, dont il ne se démarque d'ailleurs réellement par aucun aspect.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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