Eizo Foris FS2332 : l'écran polyvalent s'inspire des téléviseurs

17 juin 2011 à 12h52
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Eizo poursuit son incursion dans le domaine grand public en renouvelant l'écran avec lequel il y a transformé un premier essai. Le fabricant emblématique a effectivement annoncé hier le « Foris FS2332 », qui met plus que jamais l'accent sur le multimédia en empruntant des fonctions au domaine de l'audiovisuel.

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Le nouvel « Eizo Foris FS2332 » adopte la nouvelle fonction maison « Smart Resolution », qui analyse l'image pour n'augmenter artificiellement la netteté que sur les zones pertinentes, et non sur la totalité, comme le faisait la fonction « Power Resolution » du FS2331. Sur YouTube par exemple, la vidéo sera ainsi traitée, contrairement au reste de la page, et dans une vidéo, les cheveux seront traités contrairement au grain de peau.

Le nouveau venu troque par ailleurs la dalle VA de son prédécesseur, promettant un bon compromis entre fidélité des couleurs et réactivité, pour une dalle IPS avec overdrive. Si le FS2331 arborait l'image d'un jeu vidéo, ce n'est d'ailleurs plus le cas du « FS2332 », bien qu'il revendique un input lag d'une seule image et un temps de réponse en baisse, passant de 7 à 6 millisecondes. Il offre en outre la fonction « Power Gamma » destinée à renforcer la sensation de relief au jouant sur le contraste.

On retrouve par ailleurs une diagonale de 23 pouces, une définition Full HD (1920 x 1080 pixels), une luminosité maximale de 250 cd/m², ajustable automatiquement par capteur de luminosité ambiante, un taux de contraste natif de 1000:1 ou de 1500:1 avec fonction « ContrastEnhancer », une entrée VGA, une entrée DVI-D, deux entrées HDMI, une paire de haut-parleurs d'appoint de 0,5 W chacun et une télécommande infrarouge, ces derniers attestant de son caractère polyvalent.

L'« Eizo Foris FS2332 » sera prochainement commercialisé dans le monde, associé à une confortable garantie de 5 ans, pour un prix non communiqué.

Romain Heuillard

C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...

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C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique. Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit. Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.

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