Asus a inauguré hier la famille « ProArt » avec l'annonce d'un premier moniteur informatique destiné comme ce nom l'indique à ceux pour qui la colorimétrie est primordiale, tels que les « amateurs de photographie ». Le « PA246Q » offre pour ce faire une fiche technique à la hauteur, tout en conservant un tarif abordable.
L'« Asus ProArt Series PA246Q » affiche pour commencer 98 % de l'espace colorimétrique Adobe RGB, embarque une table de correspondance sur 12 bits, améliorant la restitution de dégradés, et promet un Delta E inférieur à 5, assurant une bonne fidélité des couleurs.
Il s'articule pour ce faire autour d'une dalle P-IPS, revendiquant une luminosité démentielle de 400 cd/m² (on travaille habituellement à 100 cd/m²), pour un taux de contraste quant à lui cohérent et confortable de 1000:1. D'une diagonale de 24 pouces (61 cm), elle affiche en outre un ratio 16:10 qui se fait de plus en plus rare, pour une définition de 1920 x 1200 pixels, plutôt que du Full HD.
La connectique riche comprend des entrées vidéo DisplayPort 1.1a, HDMI 1.3, DVI et VGA, mais aussi un concentrateur USB 2.0 à deux ports et un lecteur de carte mémoire SD.
L'« Asus ProArt Series PA246Q » sera commercialisé en France en mars au prix public de 499 euros. Si le tarif parait élevé pour un moniteur de 24 pouces, c'est nettement inférieur aux sommes réclamées par la concurrence pour un écran « art graphique ». Reste à découvrir comment il s'en sort face à ces spécialistes.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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