Lancée au mois de février en France, la console portable PS Vita s'ouvre à de nouveaux usages. Sony Computer Entertainment (SCE) a effectivement publié aujourd'hui la version 2.0 de son firmware et lancé le PlayStation Mobile Developer Program.
PS Vita 2.0 : plus polyvalente
La PS Vita bénéficie aujourd'hui d'une mise à jour majeure de son firmware. Sur le plan du jeu vidéo, elle accueille principalement le service d'abonnement PlayStation Plus, permettant notamment de bénéficier de nouveaux jeux chaque mois, de synchroniser ses trophées et ses sauvegardes en ligne (espace de stockage de 1 Go). Il est désormais possible de synchroniser ses contenus en Wi-Fi.
Mais le nouveau micrologiciel rend aussi et surtout la console, et en particulier le modèle doté d'une connectivité 3G, plus polyvalente. Elle accueille effectivement un client email qui, à défaut de prendre en charge le HTML, propose des notifications.
En outre son navigateur Internet se modernise considérablement, puisqu'il se met au HTML5 et au JavaScript, ce qui permet de naviguer sur la majorité des sites Internet. Mais les vidéos ne fonctionnent toujours pas. Une fonction permet enfin de partager une URL sur Twitter.
Le PlayStation Store s'ouvre aux développeurs indépendants
La veille, Sony a lancé le PlayStation Mobile Developer Program. Celui-ci permet finalement d'accéder à la version finalisée d'une plateforme de développement (SDK) puis au PlayStation Store.
Les développeurs indépendants peuvent donc concevoir puis distribuer, en version gratuite ou payante, des jeux vidéo mais aussi toutes sortes d'applications, à destination des smartphones et tablettes Android certifiés PlayStation mais aussi de la PS Vita.
En s'ouvrant aux indépendants, la PS Vita pourrait s'ouvrir à un nouveau genre de jeux, comme on en a vu sur iPhone ou smartphone Android.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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