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Les quelques informations diffusées début décembre par le site Planeta du juego laissaient entendre que le T500RS pourrait être commercialisé 500 dollars (380 euros), un prix en accord avec son nom. La speculation n'était pas très loin de la réalité mais le détail qui diffère fait toute la différence : il ne s'agit pas de 500 dollars, mais de 500 euros, ce qui gonfle considérablement la note.
Pour ce prix, Thrustmaster promet monts et merveilles et explique le T500RS a reçu l'aval de Kazunori Yamauchi, le président de Polyphony Digital à l'origine de Gran Turismo 5. Est-ce bien un gage de qualité quand on connait les récentes polémiques arrivées en même temps que GT5 dans le commerce ?
Pour cette coquette somme, le joueur a droit à une précision assurée par la technologie à capteurs magnétiques H.E.A.R.T. (HallEffect AccuRate Technology) disposant d'une résolution de 16 bits, déjà proposée sur le joystick Hotas Warthog de la marque. Son retour de force intégré est obtenu grâce à un moteur industriel de 65W avec 150mNm à 3000 tours par minute, et le volant dispose d'une rotation ajustable de 1080°.
Le pédalier peut quant à lui être réglé selon deux positions : « plancher » type F1 et « suspendu » type GT. La hauteur et l'écartement peuvent également être paramétrés individuellement. Enfin, pour assurer une stabilité optimale à l'ensemble, les deux éléments ont été entièrement conçus en métal, et pèsent 4,6 kg pour le volant, et 7,3 kg pour le pédalier.
Des spécifications alléchantes, mais cela justifie-t-il d'investir dans un ensemble qui coûte beaucoup plus cher que sa console de destination ? C'est aux pilotes virtuels d'en juger...
Journaliste mais geekette avant tout, je m'intéresse aussi bien à la dernière tablette innovante qu'aux réseaux sociaux, aux offres mobiles, aux périphériques gamers ou encore aux livres électroniques, sans oublier les gadgets et autres actualités insolites liées à l'univers du hi-tech. Et comme il n'y a pas que les z'Internets dans la vie, j'aime aussi les jeux vidéo, les comics, la littérature SF, les séries télé et les chats. Et les poneys, évidemment.
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