« Google Maps pour Android » poursuit la mutation entamée par l'actuelle branche avec la publication mercredi de la version 5.8. Avec cette nouvelle mise à jour, l'application de cartographie s'interface encore un peu plus avec les autres services géographiques de Google et se rapproche ainsi d'un cran de services comme Foursquare.
Contribuez à la base de données de lieux
Dans le domaine de la géolocalisation sociale, « Google Maps 5.8 pour Android » permet désormais aux utilisateurs de contribuer à la base de données de Google en créant de nouveaux lieux lorsqu'ils ne sont pas encore référencés.
L'internaute n'est habilité qu'à fournir un nom et une adresse physique, mais ni un numéro de téléphone ni une catégorie. Il appartiendra donc toujours aux responsables des lieux d'enrichir le service Place Pages, qui était jusqu'à présent le seul canal de contribution à l'annuaire de lieux publics de Google.
Dans le même ordre d'idée, les mobinautes peuvent désormais publier directement de leur mobile des photos d'un lieu. Ces photos seront automatiquement ajoutées à un album Picasa dédié, sur lequel l'utilisateur garde entièrement la main (possibilité de supprimer à posteriori par exemple).
L'application offre donc dorénavant un accès direct à la fonction « Mes adresses », regroupant ses lieux évalués et marqués comme favoris, autrefois accessibles exclusivement depuis l'application dédiée « Adresses ».
Enfin, la version 5.8 de l'application prend en charge la récente fonction de recherche descriptive, qui permet de chercher dans toutes les métadonnées des lieux, y compris dans leurs descriptions. On peut donc potentiellement trouver un endroit en fonction de la réputation, des spécialités ou des services d'un établissement, en fait de n'importe quelle information issue du descriptif du tenancier ou des commentaires de sites spécialisés ou d'internautes.
« Google Maps 5.8 pour Android » est disponible dès à présent sur l'Android Market, et requiert un smartphone exécutant Android 2.1 ou ultérieur pour fonctionner.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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