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La Commission européenne a fait savoir que l'américain Microsoft, premier éditeur de logiciels au niveau mondial, avait accepté de réaliser des changements "radicaux" pour assurer la compatibilité de .NET Passport avec "la législation européenne en matière de protection des données".
"Microsoft a accepté d'appliquer un ensemble complet de mesures de protection des données, ce qui implique des modifications substantielles du système .NET Passport existant", a précisé l'exécutif européen dans un communiqué.
Système d'authentification développé par Microsoft, Passport offre la possibilité aux sites partenaires de l'éditeur de consulter des informations personnelles concernant l'internaute à partir de la base de données du système, et permet en retour à l'internaute de ne pas réintroduire ces infos à chaque visite.
L'accord entre Microsoft et l'UE intervient après une enquête menée depuis le mois de juin 2002 par la Commission européenne (the Working Party) sur différents systèmes d'identification des internautes.
Pour sa part, l'éditeur américain a nié l'ouverture d'une investigation européenne sur son Passport ; les deux parties lui préférant le "dialogue constructif."
"Les autorités des Etats membres sont maintenant totalement satisfaites. Le système va être adapté à la législation européenne sur la protection des données, qui elle-même se reflète dans leurs législations nationales", a signalé Jonathan TODD, porte-parole de la Commission européenne, jeudi lors d'une conférence de presse.
Cette satisfaction affichée va-t-elle influencer la décision de l'Union européenne concernant cette-fois les pratiques commerciales de Microsoft, accusé d'abus de position dominante ?
"Microsoft a accepté d'appliquer un ensemble complet de mesures de protection des données, ce qui implique des modifications substantielles du système .NET Passport existant", a précisé l'exécutif européen dans un communiqué.
Système d'authentification développé par Microsoft, Passport offre la possibilité aux sites partenaires de l'éditeur de consulter des informations personnelles concernant l'internaute à partir de la base de données du système, et permet en retour à l'internaute de ne pas réintroduire ces infos à chaque visite.
L'accord entre Microsoft et l'UE intervient après une enquête menée depuis le mois de juin 2002 par la Commission européenne (the Working Party) sur différents systèmes d'identification des internautes.
Pour sa part, l'éditeur américain a nié l'ouverture d'une investigation européenne sur son Passport ; les deux parties lui préférant le "dialogue constructif."
"Les autorités des Etats membres sont maintenant totalement satisfaites. Le système va être adapté à la législation européenne sur la protection des données, qui elle-même se reflète dans leurs législations nationales", a signalé Jonathan TODD, porte-parole de la Commission européenne, jeudi lors d'une conférence de presse.
Cette satisfaction affichée va-t-elle influencer la décision de l'Union européenne concernant cette-fois les pratiques commerciales de Microsoft, accusé d'abus de position dominante ?