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Le jeu sera t'il la "killer app" sur le téléphone mobile ?
Déjà à l'origine d'Ubisoft, l'un des leaders français du jeu vidéo, la famille Guillemot regroupe Gameloft et Ludigames avec pour objectif le leadership sur le marché du jeu "mobile" (téléphones portables et assistants personnels) et sur celui de la télévision numérique.
L'assemblée Générale des actionnaires de Gameloft a approuvé le 29 mars 2002, la fusion avec le Groupe Ludigames. L'entité fusionnée, cotée au Nouveau Marché de la Bourse de Paris sous le nom Gameloft dispose ainsi d'une capitalisation boursière de 25 millions d'€uros pour plus de 100 collaborateurs dans le monde.
Gameloft propose ses jeux sur PocketPC, PalmOS, Symbian, Java, i-mode, wap, sms et désormais Brew, l'OS de Qualcomm, surtout présent en Amérique du Nord.
Après le succès des logos et sonneries, GameLoft entend faire du "jeu" à télécharger (quelques euros) le principal relais de croissance pour les opérateurs mobiles.
Déjà à l'origine d'Ubisoft, l'un des leaders français du jeu vidéo, la famille Guillemot regroupe Gameloft et Ludigames avec pour objectif le leadership sur le marché du jeu "mobile" (téléphones portables et assistants personnels) et sur celui de la télévision numérique.
L'assemblée Générale des actionnaires de Gameloft a approuvé le 29 mars 2002, la fusion avec le Groupe Ludigames. L'entité fusionnée, cotée au Nouveau Marché de la Bourse de Paris sous le nom Gameloft dispose ainsi d'une capitalisation boursière de 25 millions d'€uros pour plus de 100 collaborateurs dans le monde.
Gameloft propose ses jeux sur PocketPC, PalmOS, Symbian, Java, i-mode, wap, sms et désormais Brew, l'OS de Qualcomm, surtout présent en Amérique du Nord.
Après le succès des logos et sonneries, GameLoft entend faire du "jeu" à télécharger (quelques euros) le principal relais de croissance pour les opérateurs mobiles.