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Le 21 octobre dernier, la London Gazette annonçait que Digital Jesters se trouvait dans une situation financière plus que délicate et parlait alors même de banqueroute. Trois jours plus tard, Leo Zullo, le directeur marketing de l'éditeur britannique, précisait à nos confrères de GamesIndustry que ce constat était largement exagéré. S'il reconnaissait les problèmes de trésorerie de sa société, il considérait également que cela n'avait rien d'anormal et terminait son démenti en considérant que la situation financière de Digital Jesters était maintenant sécurisée à « 110 % ». Seulement voilà, cet avis ne semble pas partagé par tous les partenaires de Digital Jesters et en particulier par ses partenaires français.
C'est ainsi que Patrick Pligersdorffer (CEO de Cyanide), Wael Amr (CEO de Frogwares), Pascal Herold (CEO de Nadéo) et Cédric Lagarrique (COO de Focus Home Interactive) ont contacté GamesIndustry pour mettre au point certaines choses. Il semblerait effectivement que derrière le discours rassurant de Leo Zullo, la réalité soit beaucoup moins à l'avantage de Digital Jesters. Les responsables français indiquent ainsi que l'éditeur britannique aurait cassé divers contrats et refusé de payer différents studios pour leur travail. La situation serait même encore plus complexe que cela puisque d'après les responsables susnommés, Digital Jesters aurait changé plusieurs fois de nom au cours des derniers mois.
Une nouvelle compagnie, DJ Incorporated, aurait ainsi repris les activités de l'ancienne société tout en refusant d'honorer ses dettes. Les sociétés françaises précisent également que des actions légales ont d'ores et déjà été entamées alors que de son côté, Leo Zullo s'efforce de calmer le jeu en précisant à notre confrère qu'après d'importantes restructurations, Digital Jesters s'efforcent de maintenir ses relations. Il ajoute être étonné de la réaction de certains dirigeants et précise que la plupart de leurs affirmations appartiennent au domaine de la fiction... Il semblerait qu'une bataille juridique se prépare de part et d'autre de la Manche.
C'est ainsi que Patrick Pligersdorffer (CEO de Cyanide), Wael Amr (CEO de Frogwares), Pascal Herold (CEO de Nadéo) et Cédric Lagarrique (COO de Focus Home Interactive) ont contacté GamesIndustry pour mettre au point certaines choses. Il semblerait effectivement que derrière le discours rassurant de Leo Zullo, la réalité soit beaucoup moins à l'avantage de Digital Jesters. Les responsables français indiquent ainsi que l'éditeur britannique aurait cassé divers contrats et refusé de payer différents studios pour leur travail. La situation serait même encore plus complexe que cela puisque d'après les responsables susnommés, Digital Jesters aurait changé plusieurs fois de nom au cours des derniers mois.
Une nouvelle compagnie, DJ Incorporated, aurait ainsi repris les activités de l'ancienne société tout en refusant d'honorer ses dettes. Les sociétés françaises précisent également que des actions légales ont d'ores et déjà été entamées alors que de son côté, Leo Zullo s'efforce de calmer le jeu en précisant à notre confrère qu'après d'importantes restructurations, Digital Jesters s'efforcent de maintenir ses relations. Il ajoute être étonné de la réaction de certains dirigeants et précise que la plupart de leurs affirmations appartiennent au domaine de la fiction... Il semblerait qu'une bataille juridique se prépare de part et d'autre de la Manche.
Tombé dans le jeu vidéo à une époque où il fallait une belle imagination pour voir ici un match de foot, là un combat de tanks dans ces quelques barres représentées à l'écran, j'ai suivi toutes les évolutions depuis quarante ans. Fidèle du PC, mais adepte de tous les genres, je n'ai du mal qu'avec les JRPG. Sinon, de la stratégie tour par tour la plus aride au FPS le plus spectaculaire en passant par les simulations sportives ou les jeux musicaux, je me fais à tout... avec une préférence pour la gestion et les jeux combinant plusieurs styles. Mon panthéon du jeu vidéo se composerait de trois séries : Elite, Civilization et Max Payne.
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