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La version la plus simple, l'édition Classic, promet une interface à la portée de tous, sans surchage de détails techniques. Elle prend néanmoins en charge le HDV (haute définition sur cassette), permet l'intégration de menus DVD ou Blu-ray et l'export vers YouTube ou Nintendo Wii. Un grand nombre de boites de dialogue ont été réunies dans une zone intitulée Media Pool. Enfin, une commande keyframe améliorée permet de simplifier l'application d'effets aux objets vidéo.
La version dite Plus s'enrichit du support du codec AVCHD et d'un mode d'édition multi caméra (limité à 2 caméras). Ce dernier s'adresse à ceux qui souhaitent monter les films d'une fête de famille, d'un mariage ou de vacances enregistrés avec plusieurs caméras en même temps. Il suffit de définir un point de synchronisation (un flash d'appareil photo ou un bruit marquant) et de sélectionner l'angle à intégrer au montage. Des titres en trois dimensions sont également disponibles.
L'édition Premium enfin intègre de nombreuses fonctionnalités supplémentaires. Les archives sonores XXL proposent plus de 500 échantillons sonores, atmosphères, bruitages et ambiances à intégrer en post-production. Un autre ensemble comprend plus de 800 effets vidéo et transitions. Enfin, l'application Motionstudios Vasco da Gama 3 est un outil qui permet de présenter l'itinéraire emprunté pendant la création du film et les moyens de transport employés (voiture, bateau, avion, etc.).
Édition Classic à gauche, Premium à droite
Magix Vidéo Deluxe 15 est d'ores et déjà disponible, l'édition Classic est proposée au prix public conseillé de 60 euros, l'édition Plus pour 100 euros et l'édition Premium pour 120 euros.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique. Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit. Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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