Le fabricant MiTAC, qui travaille habituellement dans l'ombre d'autres entreprises en produisant pour elles des machines en marque blanche, entre à son tour dans la danse des ultra-portables économiques destinés à la navigation sur internet. Le MiTAC MiStation qu'il a présenté à l'IFA présente la particularité d'être équipé en standard d'une puce GPS. Une fonctionnalité toute naturelle dans la mesure où la société détient Mio et la division grand public de Navman, deux sociétés spécialisées dans la navigation par satellite.
Le reste de la machine est somme toute très classique, avec une dalle WSGA de 8,9 pouces de diagonale, un processeur Intel Atom N270 cadencé à 1,6 GHz, 1 Go de mémoire vive, une webcam 1,3 million de pixels équipée d'un micro et probablement un disque dur de 60 Go ou un SSD de 20 Go. Sur le plan de la connectivité, il serait équipé en plus de son module GPS d'un contrôleur réseau sans-fil b/g, d'un contrôleur réseau ethernet et enfin d'un contrôleur Bluetooth. On parle également d'un petit modem USB 3G/3G+ accueillant une carte SIM. La connectique réseau est complétée par 3 ports USB 2.0, un connecteur VGA, des prises casque et micro et un lecteur de carte mémoire SD/SDHC.
Fourni avec une batterie 4 cellules, l'ensemble pèse environ 1 kilogramme. Aucune information officielle n'a été divulguée quant à l'autonomie ou au prix de la machine. D'après plusieurs sources, cette dernière devrait être disponible en France au mois de novembre pour un prix avoisinnant 400 euros.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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