MSI a aujourd'hui annoncé le lancement en France de la « WindPad 100W ». Si la fiche technique de cette tablette Windows correspond bien à celle qui était initialement prévue, MSI a en revanche revu son tarif à la baisse. Ce produit promet « des performances dignes d'un véritable ordinateur », sans pour autant en révolutionner l'ergonomie, et c'est peut-être bien là tout le problème !
La « MSI WindPad 100W » s'articule donc comme prévu autour d'un écran tactile multipoint WSVGA (1024 x 600 pixels) de 10,1 pouces (25,7 cm). Elle abrite un processeur mono-cœur Intel Atom Z530 cadencé à 1,6 GHz, qui n'est plus tout jeune comparé à un Atom « Pineview », mais qui présente quant à lui l'intérêt d'embarquer une puce graphique assurant le décodage matériel de la vidéo Full HD. Il est épaulé par une confortable quantité de 2 Go de mémoire vive DDR2. Le stockage est plus maigre avec un SSD de seulement 32 Go.
Une connectique standard et complète
La force d'une tablette Windows est sa connectique, puisqu'on dispose ici d'un véritable port USB 2.0, d'un lecteur de carte mémoire et d'une sortie standard mini HDMI, en plus d'entrées/sorties audio, du Wi-Fi N et du Bluetooth 2.1. Deux capteurs de 1,3 million de pixels chacun, à l'avant et à l'arrière, complètent l'ensemble. En contrepartie, la machine accuse 800 g sur la balance avec sa batterie à 2 cellules de 40 WHr lui conférant une autonomie annoncée de 6 heures.
Ce « WindPad » fonctionne donc sous Windows 7 Édition Familiale Premium. MSI a néanmoins prévu une « interface utilisateur unique », qu'il ne détaille pas, de laquelle on accède aux applications courantes... et à une loupe ! La messe est dite.
La tablette Windows « MSI WindPad 100W » sera enfin commercialisée en France au mois de février pour 549 euros, et non 599 euros comme on s'y attendait.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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