Sony a complété ce matin sa gamme de smartphones d'un nouveau modèle, le « Xperia ZR », alternative moins encombrante mais aussi et surtout moins onéreuse du vaisseau amiral du fabricant.
Le Sony Xperia ZR reprend bon nombre des caractéristiques du Xperia Z, à commencer par son étanchéité IP58 (immersion à 1,5 m pendant 30 min), mais dans un format légèrement plus petit. On passe pour ce faire d'un écran de 5 pouces à un écran de 4,6 pouces, soit une surface inférieure de 18%. En contrepartie la définition passe de la Full HD à la HD, ce qui peut en réalité s'avérer être un avantage (graphismes plus fluides à composants égaux).
Malheureusement les bordures ne sont plus aussi fines et la surface de l'appareil n'est inférieure que de 12%, tandis que l'épaisseur augmente sensiblement, puisqu'on passe de 139 x 71 x 7,9 mm à 131 x 67,4 x 10,4 mm.
Quoi qu'il en soit, l'appareil hérite du capteur CMOS rétro-exposé Exmor RS à 13 millions de pixels de son aîné, filmant en Full HD. Il abrite une puce Snapdragon S4 Pro, une Qualcomm APQ8064 à CPU quadri-cœur à 1,5 GHz en l'occurrence, 2 Go de mémoire vive mais seulement 8 Go de mémoire interne, extensible au moyen d'une carte microSDHC (d'un maximum de 32 Go). La connectique comprend NFC, Bluetooth 4.0, Wi-Fi, GPS et Glonass mais aussi 4G LTE, au travers d'une puce Qualcomm MDM9215M. Deux contacts et une station d'accueil fournie permettent enfin de recharger la batterie à 2300 mAh du terminal sans avoir à manipuler le capuchon étanche du port microUSB.
Le Sony Xperia ZR sera commercialisé dans le monde entier d'ici la fin du deuxième trimestre 2013, c'est-à-dire d'ici la fin du mois de juin, pour un prix public non communiqué.
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Publication initiale le 13/05/2013 à 12 h 43
Mise à jour le 23/05/2013 à 14 h 56
Les mentions légales d'un concours organisé par Sony Mobile ont révélé la « valeur approximative » du Xperia ZR, qui est de 400 euros.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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