C'est aujourd'hui au tour de la maison de couture Jil Sander de rejoindre les marques de luxe commercialisant un smartphone, avec le lancement en France et dans d'autres pays d'Europe d'un smartphone Windows Phone 7.5 Mango sobrement baptisé « Jil Sander Mobile ».
Fabriqué par LG, ce « mobile Jil Sander » est sur le plan technique un Windows Phone comme un autre. Il se démarque donc principalement par son esthétique et en offrant l'application maison.
Sur le plan esthétique, il se différencie effectivement du reste de la gamme LG par ses surfaces finement texturées, par ses touches de bleu électrique caractéristiques de la marque et par sa ligne d'accessoires. À l'heure de la surenchère à la diagonale d'écran, le sien s'en tient par ailleurs à 3,8 pouces (9,7 cm) pour rester compact. Il affiche une définition WVGA.
L'application « Jil Sander » promet quant à elle au mobinaute d'interagir avec la marque en découvrant les collections, en bénéficiant de contenus supplémentaires et en offrant un accès à la boutique en ligne ou à une fonction de de localisation de boutiques. Autant de fonctions qu'on pourrait en fait retrouver sur n'importe quel modèle au travers du Windows Phone Marketplace.
Le « Jil Sander Mobile » affiche par ailleurs une fiche technique courante avec un SoC Qualcomm QSD8650 cadencé à 1 GHz, 16 Go de mémoire interne, un capteur de 5 millions de pixels filmant en HD 720p, de l'HSPA+ à 7,2 Mbps, du Wi-Fi N et du Bluetooth 2.1.
En définitive le « Jil Sander Mobile » n'a de luxueux que le nom. Il a donc probablement le mérite d'être accessible au grand public, bien que son tarif ne soit pas communiqué, contrairement à la plupart des mobiles de grandes marques vendus à des tarifs prohibitifs. Il sera mis en vente très prochainement auprès de revendeurs « triés sur le volet ».
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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