Nikon lance ce matin un nouveau compact grand public, le Coolpix S6600, qui présente la particularité de disposer d'un écran orientable.
96,9 x 57,1 x 27,2 mm pour 165 g
Nikon annonce le renouvellement de ses deux appareils photo compacts milieu de gamme. Un an après le S6400|noparse et six mois après le S6500, sa variante Wi-Fi, le nouveau Coolpix S6600 apporte principalement un écran orientable dans un boîtier presque aussi fin.
Cet écran présente l'intérêt d'être orientable sur deux axes, et pas seulement sur l'axe vertical comme c'est souvent le cas, ce qui offre une grande liberté de cadrage, jusqu'en autoportrait. Mais il n'est pas tactile, contrairement à celui du S6400, et s'en tient à une modeste définition de 460 000 points sur 2,7 pouces.
Il reprend en revanche le Wi-Fi inauguré sur le S6500, qui permet de le télécommander puis de rapatrier photos et vidéos sur un téléphone ou sur une tablette Apple ou Android, et de les partager par Internet. Faute d'écran tactile, de NFC ou de WPS, il faudra saisir les clés à l'aide du pavé directionnel.
L'appareil dispose par ailleurs d'un zoom stabilisé 12x équivalent à un 25-300 mm f/3,3-6,3 et d'un capteur CMOS rétro-exposé à 16 millions de pixels photographiant jusqu'à 3200 ISO et filmant en Full HD 1080/50i.
Le Nikon Coolpix S6600 sera mis en vente en France le 22 août au prix public de 200 euros.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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