Nikon a annoncé ce matin quatre nouveaux appareils photo compacts destinés à autant de publics. Il lance tout particulièrement le « Coolpix S800c », le premier appareil photo connecté reposant sur Android !
Depuis l'avènement d'Instagram et d'autres applications similaires pour smartphones, les fabricants intègrent des « filtres créatifs » à leurs appareils photo, et plus récemment une connectivité Wi-Fi permettant de partager immédiatement ses clichés sur les réseaux sociaux. Mais ces solutions manquent encore de souplesse, si bien que les utilisateurs préfèrent souvent utiliser leur mobile, au détriment de la qualité.
Le « Nikon Coolpix S800c » mise quant à lui sur la combinaison des deux mondes, en dotant un appareil photo digne de ce nom d'une interface Android offrant l'accès au Google Play Store.
Sur le plan photographique, le « S800c » dispose effectivement d'un confortable zoom stabilisé 10 fois, équivalent à un 25-250 mm f/3,2-5,8, mais aussi et surtout d'un capteur CMOS rétroexposé de 16 millions de pixels au format 1/2,3 pouce, sensiblement plus grand et donc performant que celui de la plupart des smartphones. Celui-ci peut photographier à 8,1 i/s et filmer en 1080p à 30 i/s avec une sensibilité maximale de 3200 ISO.
Son écran OLED tactile de 3,5 pouces et d'une définition VGA affiche donc l'interface standard d'Android 2.3 Gingerbread. Peu d'informations sont communiquées quant à cet aspect de l'appareil, on sait seulement qu'il permet d'accéder au vaste catalogue d'applications du Google Play Store, qu'il dispose du Wi-Fi N, du Bluetooth, d'un GPS et de 4 Go de mémoire interne, dont 1,7 Go sont disponibles pour l'installation d'applications, en plus d'un emplacement pour carte SD.
Cet innovant « Nikon Coolpix S800c » sera commercialisé en France à partir du 27 septembre, au prix de 380 euros.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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