Nikon Coolpix S1100pj : un projecteur intégré plus lumineux

17 août 2010 à 10h56
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Nikon renouvelle à son tour son appareil photo inédit à projecteur intégré, succédant ainsi à Fujifilm qui lance quant à lui un nouveau modèle 3D. Le nouveau « Nikon Coolpix S1100pj » bénéficie tout particulièrement d'un projecteur amélioré.

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La luminosité du projecteur fait effectivement un bond en avant de 40 % par rapport à celui du prédécesseur, pour culminer désormais à 14 lumens. De quoi projeter sur le mur une image de 12 à 120 cm de diagonale, d'une distance d'environ 26 à 240 cm, avec une définition VGA (640 x 480 pixels) et pendant environ une heure sur batterie. En outre, ce projecteur peut dorénavant être connecté à un ordinateur (PC ou Mac) pour afficher des images ou des présentations, sans plus de précisions. À titre de comparaison, un vidéo projecteur conventionnel d'entrée de gamme affiche une luminosité d'au moins 1 000 lumens.

Le capteur passe à 14 millions de pixels et filme désormais en haute définition. Le zoom télescopique 5 fois est strictement identique à celui de son devancier : équivalent à un 28-140 mm, il est stabilisé et relativement grand angle, à défaut d'être lumineux. L'écran s'améliore enfin puisqu'il affiche 460 000 points sur une dalle tactile d'une diagonale de 7,5 cm (3 pouces).

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Extrait de la fiche technique :
  • Capteur CCD de 1/2,3 pouces à 14,1 millions de pixels
  • Sensibilité de 80 à 2000 ISO en pleine définition, jusqu'à 6400 ISO à 3 millions de pixels
  • Vidéo en HD 720p à 30 images/seconde
  • Zoom stabilisé 5 fois équivalent à un 28-140 mm f/3.9-5.8
  • Ecran LCD tactile de 7,5 cm à 460 000 points
Le Nikon Coolpix S1100pj sera lancé en France à la rentrée (septembre) au prix public de 350 euros, soit un prix de lancement inférieur à celui de son prédécesseur.

Romain Heuillard

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C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique. Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit. Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.

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