Mieux vaut tard que jamais. Dell lance enfin un Ultrabook de première génération en France, l'« XPS 13 » qu'il a annoncé au mois de janvier en marge du CES, à l'heure où l'on attend déjà ceux de seconde génération.
Sur ce marché concurrentiel qui laisse peu de latitude aux fabricants, le fabricant américain mise sur la qualité de fabrication. Le « Dell XPS 13 » présente effectivement l'intérêt d'avoir recours à de l'aluminium pour le capot, à du verre Corning Gorilla Glass pour l'écran (de fait brillant), et même à de la fibre de carbone pour le châssis.
Dell a maintenu les bordures de l'écran relativement fines pour que sa machine soit la plus compacte possible : elle mesure 316 x 205 x 18 mm pour 1,36 kg.
Une fiche technique commune
On retrouve par ailleurs une fiche technique courante, spécifications Ultrabook oblige, avec une plateforme Huron River d'Intel incarnée en standard par un processeur Core i5-2467M à architecture Sandy Bridge, un bi-cœur Hyper-Threading cadencé de 1,6 à 2,3 GHz. Celui-ci est épaulé par 4 Go de mémoire vive DDR3 à 1333 MHz et associé à un SSD de 128 Go.
La connectique comprend Wi-Fi N, Bluetooth 3.0, un port USB 3.0, un port USB 2.0 alimenté en permanence, une sortie mini DisplayPort et une sortie casque. La webcam à 1,3 million de pixels quant à elle prend en charge les dernières spécifications de Skype.
Le fabricant aurait pu se distinguer par l'écran, mais celui-ci s'en tient à une définition WXGA, fort modeste sur une diagonale de 13,3 pouces.
L'Ultrabook « Dell XPS 13 » est donc disponible dès à présent en France au prix public de 1000 euros. Il est également proposé avec un SSD de 256 Go pour 1180 euros et avec un Core i7-2637M pour 1400 euros.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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