Après Dell il y a deux semaines, c'est aujourd'hui au tour de Toshiba de lancer un ordinateur portable au rapport qualité/prix alléchant, adapté à une utilisation bureautique courante pour à peine plus cher qu'un netbook.
Destiné au grand public, le « Toshiba Satellite C660-220 » adopte la même recette que son concurrent américain : des composants de la génération précédente dans un boitier quelconque (3,6 cm d'épaisseur pour 2,54 kg) au format 15,6 pouces (définition WXGA). Sa batterie à 6 cellules lui confèrerait une autonomie d'un peu plus de 5 h.
Il s'en tient donc à l'architecture Arrandale, incarnée en l'occurrence par un Intel Core i3-370M, comprenant d'une part un CPU double-cœur Hyper-Threading cadencé à 2,4 GHz et muni de 3 Mo de mémoire cache, et d'autre part un GPU Intel GMA HD cadencé de 500 à 667 MHz et assurant le décodage matériel de la vidéo.
Celui-ci est épaulé par 4 Go de mémoire vive DDR3, la quantité du moment. Le stockage est assuré par un disque dur à 5400 tr/min d'une capacité confortable de 500 Go, par un graveur de DVD et par un lecteur de carte SD.
La connectique est en contrepartie relativement pauvre avec seulement deux ports USB 2.0 (aucun USB 3.0), une sortie VGA mais pas de sortie HDMI, et de l'Ethernet et du Wi-Fi N mais pas de Bluetooth. L'écran est enfin surmonté d'une modeste webcam VGA.
Le « Toshiba Satellite C660-220 » est livré sous Windows 7 Édition Familiale Premium 64 bits et commercialisé dès à présent au prix de 390 euros.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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