Maintenant que le défaut des nouveaux chipsets d'Intel est enterré, les ordinateurs adoptant l'architecture Sandy Bridge commencent à déferler. C'est ainsi aujourd'hui au tour de HP d'annoncer le renouvellement de certains de ses ordinateurs, à commencer par ses portables polyvalents : les « Pavilion dv6 » et « dv7 ».
HP Pavilion dv6 : un portable musclé
Le « HP Pavilion dv6-6090ef » au format WXGA 15,6 pouces offre par exemple une configuration musclée.
Il s'articule effectivement autour d'un Intel Core i7-2630QM épaulé par quelques 6 Go de mémoire vive DDR3, et d'une puce graphique dédiée AMD Radeon HD 6770M épaulée par 1 Go de mémoire GDDR5 dédiée. Le stockage y est en outre assuré par un confortable disque dur de 1 To (à 5400 tr/min toutefois) et par un lecteur de Blu-ray/graveur de DVD. Il pèse au moins 2,9 kg pour une épaisseur de 3,11 cm.
HP Pavilion dv7
Le « Pavilion dv7-6070sf », bien que plus sédentaire en raison de son écran HD+ de 17,3 pouces et de son poids d'au moins 3,4 kg, se contente quant à lui d'une configuration plus modeste.
Au même processeur Core i7-2630QM sont cette fois associés 4 Go de mémoire vive DDR3 et une puce graphique dédiée Radeon HD 6490M beaucoup moins ambitieuse. Le stockage y est assuré par un disque dur de 640 Go et le lecteur de Blu-ray y est évincé.
HP Envy 17 : un écran 3D à lunettes actives
Enfin, HP débute le renouvellement de la famille haut de gamme « Envy » par le plus grand modèle. L'« Envy 17-2003ef » abrite les mêmes composants que le dv6 sus-cité, auxquels il procure une dimension multimédia en leur adjoignant un système audio estampillé « Beats Audio » mais aussi et surtout un écran de 17,3 pouces affichant une définition Full HD et un taux de rafraichissement de 120 Hz, qui lui permet de restituer du relief au moyen d'une paire de lunettes actives.
Le prix et la date de commercialisation de ces trois nouveautés phare du printemps 2011 n'ont malheureusement pas été communiqués.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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