Jusqu'à présent tourné essentiellement vers la vidéo, le Chromecast accueillera bientôt un service de musique à la demande majeur : Deezer.
Deezer a annoncé aujourd'hui la prise en charge du Chromecast. Avec la mise à jour des applications mobiles qui sera publiée demain, les abonnés Premium+ pourront « caster » la musique de leur choix sur leur téléviseur, relié de préférence à des haut-parleurs dignes de ce nom, tels que ceux d'une installation home cinema.
Comme d'habitude avec le Chromecast, les morceaux sont téléchargés directement depuis les serveurs de Deezer, le téléphone ou la tablette ne servent que de télécommande, et non de relais. Par rapport à AirPlay d'Apple, cette solution présente l'intérêt d'épargner la batterie et de libérer l'appareil pour d'autres activités, tels que des appels téléphoniques.
La combinaison de Deezer et d'un Chromecast prend tout son sens lors d'une soirée entre amis, puisque plusieurs utilisateurs peuvent contribuer à l'ambiance musicale en parallèle, sur le même principe que le Photowall de Google. Les morceaux castés depuis les téléphones de chacun des participants enrichissent une file d'attente commune et sont lus les uns après les autres. Les métadonnées sont naturellement présentées sur le grand écran.
En Europe, Deezer est le premier service de musique à la demande tiers à prendre en charge le Chromecast, derrière la solution maison Google Play Musique All Access. Il devance tout particulièrement Spotify, qui se distinguait jusqu'à présent avec Spotify Connect, au fonctionnement similaire mais requérant des équipements plus spécifiques.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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