Rdio : musique à la demande gratuite et sans pub pendant 6 mois

06 février 2013 à 14h55
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Rdio a finalement lancé la semaine dernière une offre gratuite en France. Le challenger des services de musique à la demande, disponible en Europe depuis le printemps 2012, cherche à recruter des utilisateurs.

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On l'a vu lors de son lancement en Europe, puis lors de la publication de la version 2.0 des applications mobiles, Rdio a plus d'une corde à son arc, face aux leaders européens Deezer et Spotify.

Mais jusqu'à la semaine dernière, Rdio ne proposait qu'une offre d'essai de 7 jours, au-delà de laquelle il n'existait que deux offres payantes. Le nouvel entrant devait donc non seulement convaincre les utilisateurs des services concurrents de migrer, et d'abandonner leurs précieuses listes de lecture, mais en plus dans de nombreux cas de passer d'une offre gratuite à une offre payante.

Une offre d'essai longue durée et sans publicité

Pour séduire lentement mais sûrement les internautes, Rdio propose désormais son offre gratuite dans un total de 15 pays1, dont le Canada, la Belgique et la France. En fait d'offre gratuite, il s'agit d'une offre d'essai à la fois limitée et prolongée. Elle permet d'accéder gratuitement à Rdio pendant six mois, avec une limite mensuelle d'écoutes (malheureusement non chiffrée), ce depuis un ordinateur, au travers d'un navigateur ou des logiciels, mais pas depuis les applications mobiles.

Si l'offre gratuite de Rdio est limitée dans le temps, elle présente l'immense intérêt d'être exempte de publicité, contrairement à celles de Deezer et Spotify.

Enfin, ceux pour qui l'offre d'essai de 7 jours était arrivée à échéance peuvent bénéficier de cette offre gratuite en se reconnectant tout simplement à leur compte.

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1 Australie, Belgique, Canada, Danemark, Espagne, Estonie, États-Unis, Finlande, France, Norvège, Nouvelle-Zélande, Pays-Bas, Portugal, Royaume-Uni, Suède

Romain Heuillard

C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...

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C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique. Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit. Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.

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