La RATP lance une refonte de son application mobile, qui s'inspire d'applications alternatives qui avaient le vent en poupe.
La RATP a profité cette semaine de Viva Technology, salon consacré à « l'innovation au service du tourisme », pour présenter sa nouvelle application mobile. Ce n'est pas anodin, plus de 2 millions d'utilisateurs comptent chaque mois sur ce service presque de première nécessité.
Pour commencer, en termes d'innovation, la Régie autonome des transports parisiens se vante d'avoir adopté la méthode agile. Ainsi l'application bénéficie dès à présent d'une refonte, mais des évolutions régulières sont à venir. « L'objectif de cette nouvelle version est » quoi qu'il en soit « de proposer aux utilisateurs une réponse rapide à leurs besoins de mobilité dès l'ouverture de l'application, » explique l'exploitant des transports en commun parisiens.
Concrètement, l'application apporte dans un premier temps les nouveautés suivantes :
La nouvelle page d'accueil personnalisée permet de consulter directement les itinéraires et horaires adaptés à la situation, comme Citymapper et Transit.
A la manière des applications concurrentes précitées, elle intègre mieux des modes de transports alternatifs, pas les VTC, mais les services de partage Velib' et Autolib'.
Elle assure désormais le guidage jusqu'à la destination finale, en proposant un guidage piéton au-delà du périmètre de la régie.
L'application s'interface avec l'agenda de l'utilisateur pour automatiser le guidage vers la prochaine destination.
À terme, c'est-à-dire d'ici la fin de l'année selon la RATP :
L'application référencera les commerces et services proposés en stations.
Dans le prolongement du guidage piéton au-delà des stations, elle indiquera aussi et surtout les sorties de métro à emprunter.
Elle facilitera enfin l'usage du bus, dont les temps de passage sont parfois irréguliers, en proposant une fonction d'alerte et d'information des contournements en cas de trafic perturbé.
La nouvelle application est disponible dès à présent sur iPhone et smartphone Android.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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