Une intéressante solution qui permet d'envisager l'utilisation de SSD au format M.2 comme une « unité de stockage externe »
Akasa est un fabricant bien connu de tous les amateurs de « docks », ces solutions qui permettent d'exploiter en externe des composants le plus souvent prévus pour un usage interne comme les disques durs, mais aussi les SSD au format M.2.
Clonage indépendant
Il en va ainsi du DuoDock MX qui se présente sous la forme d'un boîtier on ne peut plus « compact » de 93 x 93 x 132 millimètres. Tout de blanc vêtu, il se montre élégant mais, ombre au tableau esthétique, il est accompagné d'un bloc d'alimentation assez encombrant.
Le dock en lui-même se compose d'une base disposant de deux ports M.2 pour accueillir des SSD NVMe et d'une espèce de couvercle qui semble surtout là pour protéger les unités de stockage et éviter qu'elles soient manipulées par inadvertance.
Sur le devant du DuoDock MX, on repère une rangée de LED prévues pour transmettre toutes les informations nécessaires et un bouton de clonage. L'idée est ici de ne même pas avoir besoin d'un ordinateur pour copier le contenu d'un SSD vers un autre, de manière très rapide.
« Seulement » du 10 Gbps
S'il n'est question que de clonage, le DuoDock MX doit simplement être relié au secteur. En revanche, pour une utilisation plus « complète », il faut le connecter à un PC : un port USB Type-C est présent à cet effet.
Hélas, ce port USB-C est aussi le principal reproche à faire au DuoDock MX. Certes, il permet d'atteindre un débit théorique de 10 Gbps grâce à son interface USB 3.2 Gen 2, mais alors que les solutions USB 3.2 Gen 2x2 (20 Gbps) se multiplient, on aurait aimé qu'Akasa se mette à la page.
On peut toutefois supposer que le fabricant n'a pas souhaité atteindre de tels débits afin de limiter l'échauffement des SSD. Un petit ventilateur est prévu dans la base du dock, mais il aurait sans doute été nécessaire de placer, en plus, des dissipateurs sur les M.2.
Le DuoDock MX est d'ores et déjà disponible, au moins au Royaume-Uni où il est facturé la bagatelle de 98 livres, soit plus ou moins 115 euros.
Source : TechPowerUp
Tombé dans le jeu vidéo à une époque où il fallait une belle imagination pour voir ici un match de foot, là un combat de tanks dans ces quelques barres représentées à l'écran, j'ai suivi toutes les évolutions depuis quarante ans. Fidèle du PC, mais adepte de tous les genres, je n'ai du mal qu'avec les JRPG. Sinon, de la stratégie tour par tour la plus aride au FPS le plus spectaculaire en passant par les simulations sportives ou les jeux musicaux, je me fais à tout... avec une préférence pour la gestion et les jeux combinant plusieurs styles. Mon panthéon du jeu vidéo se composerait de trois séries : Elite, Civilization et Max Payne.
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