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Fort de plus de 6 millions de consoles portables de Sony commercialisées à travers le monde depuis son lancement en Décembre 2004 au Japon, la PSP attire les convoitises de nombreux développeurs qui sont mélangés entre un simple défi technologique permettant de passer outre les protections de la console et une volonté réelle de se voir proposer de nouvelles applications développées pour la première console portable du géant Nippon.
C'est ainsi que si officiellement il n'est possible que d'éxecuter des programmes signés numériquement par Sony pour pouvoir être reconnus comme des programmes officiels de la console, des développeurs passionnés avaient déjà trouvé un moyen de pouvoir utiliser des programmes non officiels sur les premiers exemplaires des consoles PSP commercialisées entre autre au Japon et aux Etats-Unis.
En effet, ces premières consoles possédaient un système d'exploitation en version 1.00 (Japon) et 1.50 (Etats-Unis) qui disposaient de failles logicielles permettant pour des développeurs expérimentés de mettre au point des lanceurs d'applications, applications conçues par des développeurs du monde entier spécifiquement pour la console. Les premières applications ont par exemple été des simples émulateurs de consoles d'anciennes générations (Super Nintendo, Megadrive) ou des jeux (échec, dame) tandis que les dernières applications ont été de véritables programmes qui permettent d'executer des copies de jeux PSP piratés via les réseaux de peer to peer et utilisables via la carte mémoire Memorystick Duo de la console.
Cependant, Sony, qui veut à tout prix protéger le contenu de ses éditeurs de jeux vidéos et surtout contrôler le nombre d'applications disponibles sur la console PSP, à depuis corrigé le tir avec la mise en place de 3 nouvelles versions du système d'exploitation de la console, les 1.51, 1.52 et 2.00 (avec navigateur web). Ces nouvelles versions sont disponibles sur toutes les nouvelles consoles portables de Sony commercialisées ces derniers mois à travers le monde, les consoles Européennes sorties le 1er Septembre dernier comprises.
Ainsi, si jusque là aucune faille de sécurité n'avait été détectée sur les nouvelles Sony PSP, une faille a été trouvée il y a quelques jours, exploitant un défaut, pourtant connu, de la librairie libTIFF intégrée à la console. Il n'aura pas fallu attendre longtemps pour que les premières applications qui exploitent cette faille soient disponibles en téléchargement, un programme permettant de revenir à un système d'exploitation en version 1.50 venant tout juste de voir le jour. De plus, ce même programme, permet également de revenir ensuite à un système 2.00 le moment voulu.
Si Sony n'a pour le moment pas réagi fâce à une telle faille de sécurité, il est fort à parier que le géant Japonais mette désormais rapidement à disposition une nouvelle version 2.1 du système d'exploitation de la console qui permette de contrer cette nouvelle forme de piratage. Toujours est-il que le temps de mettre en place cette mise à jour et le temps qu'elle soit intégrée de base dans toutes les nouvelles consoles commercialisées à travers le monde, des millions de consoles pourront permettre d'exploiter cette faille.
En attendant, une des réponses les plus rapides que Sony devrait proposer, sera sans doute de permettre de mettre à jour la console, via un système d'exploitation plus récent, lors de l'execution de nouveaux jeux "phare" prévus pour être commercialisés en exclusivité sur la console, comme le jeu GTA Liberty City par exemple. A noter qu'une telle obligation de mise à jour avait jusque là été déjà mise en place sur des UMD de jeux et des UMD vidéos pour empêcher justement leur lancement sur des consoles PSP dotées d'un système 1.50...
C'est ainsi que si officiellement il n'est possible que d'éxecuter des programmes signés numériquement par Sony pour pouvoir être reconnus comme des programmes officiels de la console, des développeurs passionnés avaient déjà trouvé un moyen de pouvoir utiliser des programmes non officiels sur les premiers exemplaires des consoles PSP commercialisées entre autre au Japon et aux Etats-Unis.
En effet, ces premières consoles possédaient un système d'exploitation en version 1.00 (Japon) et 1.50 (Etats-Unis) qui disposaient de failles logicielles permettant pour des développeurs expérimentés de mettre au point des lanceurs d'applications, applications conçues par des développeurs du monde entier spécifiquement pour la console. Les premières applications ont par exemple été des simples émulateurs de consoles d'anciennes générations (Super Nintendo, Megadrive) ou des jeux (échec, dame) tandis que les dernières applications ont été de véritables programmes qui permettent d'executer des copies de jeux PSP piratés via les réseaux de peer to peer et utilisables via la carte mémoire Memorystick Duo de la console.
Cependant, Sony, qui veut à tout prix protéger le contenu de ses éditeurs de jeux vidéos et surtout contrôler le nombre d'applications disponibles sur la console PSP, à depuis corrigé le tir avec la mise en place de 3 nouvelles versions du système d'exploitation de la console, les 1.51, 1.52 et 2.00 (avec navigateur web). Ces nouvelles versions sont disponibles sur toutes les nouvelles consoles portables de Sony commercialisées ces derniers mois à travers le monde, les consoles Européennes sorties le 1er Septembre dernier comprises.
Ainsi, si jusque là aucune faille de sécurité n'avait été détectée sur les nouvelles Sony PSP, une faille a été trouvée il y a quelques jours, exploitant un défaut, pourtant connu, de la librairie libTIFF intégrée à la console. Il n'aura pas fallu attendre longtemps pour que les premières applications qui exploitent cette faille soient disponibles en téléchargement, un programme permettant de revenir à un système d'exploitation en version 1.50 venant tout juste de voir le jour. De plus, ce même programme, permet également de revenir ensuite à un système 2.00 le moment voulu.
Si Sony n'a pour le moment pas réagi fâce à une telle faille de sécurité, il est fort à parier que le géant Japonais mette désormais rapidement à disposition une nouvelle version 2.1 du système d'exploitation de la console qui permette de contrer cette nouvelle forme de piratage. Toujours est-il que le temps de mettre en place cette mise à jour et le temps qu'elle soit intégrée de base dans toutes les nouvelles consoles commercialisées à travers le monde, des millions de consoles pourront permettre d'exploiter cette faille.
En attendant, une des réponses les plus rapides que Sony devrait proposer, sera sans doute de permettre de mettre à jour la console, via un système d'exploitation plus récent, lors de l'execution de nouveaux jeux "phare" prévus pour être commercialisés en exclusivité sur la console, comme le jeu GTA Liberty City par exemple. A noter qu'une telle obligation de mise à jour avait jusque là été déjà mise en place sur des UMD de jeux et des UMD vidéos pour empêcher justement leur lancement sur des consoles PSP dotées d'un système 1.50...
