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Des new-yorkais lancent l'opération interactive "Bikes Against Bush" à l'occasion de la convention républicaine qui a débuté lundi au Madison Square Garden.
A l'heure où s'ouvre la convention républicaine, des cyclistes "connectés" sillonnent Manhattan pour protester contre la politique menée par l'administration BUSH.
Les plus fervents partisans du GOP (Grand Old Party) sont réunis pour l'occasion au Madison Square Garden. Le quartier, de la 25ème à la 38ème rue, entre la 5ème et la 11ème avenue, est bouclé. Quoi qu'il en soit, dès dimanche des dizaines de milliers de personnes ont joyeusement manifesté, aux alentours, leur opposition à la politique de George W. BUSH.
L'actuel Président des Etats-Unis a choisi d'officialiser sa candidature à l'élection de novembre 2004, et ce à quelques blocs de Ground Zero, un espace où s'élevait encore, il y a trois ans, le World Trade Center.
Ouvrir la convention républicaine à New York City est donc hautement symbolique et stratégique. Or, nombreux sont les new-yorkais à refuser que George BUSH, qui se présentera à la convention jeudi prochain, ne fasse du souvenir des milliers de victimes des attentats du 11 septembre 2001, un argument de campagne.
Parmi les opposants à la réélection de George W. BUSH, un groupe de new-yorkais a mis en place l'opération "Bikes Against Bush" (des Vélos contre Bush).
Cette opération a lieu simultanément en ligne (www.bikesagainstbush.com) et dans les rues de NYC durant la convention républicaine, du 30 août au 2 septembre 2004.
Dans ce cadre, les vélos sont équipés d'un système d'accès sans fil à l'Internet haut débit et d'une solution d'impression "customisée". L'ensemble permet aux cyclistes d'imprimer directement sur le sol de Manhattan, en utilisant une encre soluble dans l'eau, les messages transmis par les internautes pour témoigner de leur opposition à la politique de l'administration BUSH.
Malgré cette énième manifestation, innovante et pacifique, malgré les vives critiques qui ont suivi la diffusion d'un spot télévisé pro-BUSH utilisant des images des attentats du 11 septembre 2001, la référence aux évènements reste l'élément central de la campagne présidentielle républicaine 2004.
A l'heure où s'ouvre la convention républicaine, des cyclistes "connectés" sillonnent Manhattan pour protester contre la politique menée par l'administration BUSH.
Les plus fervents partisans du GOP (Grand Old Party) sont réunis pour l'occasion au Madison Square Garden. Le quartier, de la 25ème à la 38ème rue, entre la 5ème et la 11ème avenue, est bouclé. Quoi qu'il en soit, dès dimanche des dizaines de milliers de personnes ont joyeusement manifesté, aux alentours, leur opposition à la politique de George W. BUSH.
L'actuel Président des Etats-Unis a choisi d'officialiser sa candidature à l'élection de novembre 2004, et ce à quelques blocs de Ground Zero, un espace où s'élevait encore, il y a trois ans, le World Trade Center.
Ouvrir la convention républicaine à New York City est donc hautement symbolique et stratégique. Or, nombreux sont les new-yorkais à refuser que George BUSH, qui se présentera à la convention jeudi prochain, ne fasse du souvenir des milliers de victimes des attentats du 11 septembre 2001, un argument de campagne.
Parmi les opposants à la réélection de George W. BUSH, un groupe de new-yorkais a mis en place l'opération "Bikes Against Bush" (des Vélos contre Bush).
Cette opération a lieu simultanément en ligne (www.bikesagainstbush.com) et dans les rues de NYC durant la convention républicaine, du 30 août au 2 septembre 2004.
Dans ce cadre, les vélos sont équipés d'un système d'accès sans fil à l'Internet haut débit et d'une solution d'impression "customisée". L'ensemble permet aux cyclistes d'imprimer directement sur le sol de Manhattan, en utilisant une encre soluble dans l'eau, les messages transmis par les internautes pour témoigner de leur opposition à la politique de l'administration BUSH.
Malgré cette énième manifestation, innovante et pacifique, malgré les vives critiques qui ont suivi la diffusion d'un spot télévisé pro-BUSH utilisant des images des attentats du 11 septembre 2001, la référence aux évènements reste l'élément central de la campagne présidentielle républicaine 2004.
