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Aux informations communiquées par les Echos ce matin qui indiquaient que Ubi Soft pourrait racheter son concurrent britannique Eidos, l'éditeur de Jeux Vidéo français a répondu que cette acquisition n'était « pas d'actualité ».
Le PDG d'Ubi Soft, Yves Guillemot, avait laissé entendre au quotidien économique qu'il lorgnait sur Eidos, connu pour son célèbre jeu Tomb Raider et son égérie Lara Croft, et dont le prochain épisode du jeu doit sortir sur Playstation 2 au troisième trimestre 2002.
Alain Martinez, directeur financier de l'éditeur de jeux vidéos français, a mis un bémol à l'information en indiquant à l'AFP qu'Eidos constituait « une cible intéressante, mais encore trop chère » avant d'ajouter : « nous préférons faire avancer plusieurs acquisitions plus petites, notamment aux Etats-Unis, qui devraient se concrétiser d'ici quelques mois ».
En tous cas, le britannique et sa cyber héroïne suscitent les convoitises, même si les prédateurs jugent sa valorisation actuelle trop chère. La rumeur a également déjà fait état de l'intérêt de l'autre éditeur français Infogrames, même si son PDG, Bruno Bonnell, répète à chaque rumeur qu'il ne rachètera Eidos que « dans des conditions favorables aux actionnaires d'Infogrames ».
Lequel des deux rivaux français mettra la main sur le créateur de Lara Croft ? « Qu'Infogrames nous souffle Eidos fait partie des risques du métier », estime-t-on chez Ubi Soft. A suivre donc...
Le PDG d'Ubi Soft, Yves Guillemot, avait laissé entendre au quotidien économique qu'il lorgnait sur Eidos, connu pour son célèbre jeu Tomb Raider et son égérie Lara Croft, et dont le prochain épisode du jeu doit sortir sur Playstation 2 au troisième trimestre 2002.
Alain Martinez, directeur financier de l'éditeur de jeux vidéos français, a mis un bémol à l'information en indiquant à l'AFP qu'Eidos constituait « une cible intéressante, mais encore trop chère » avant d'ajouter : « nous préférons faire avancer plusieurs acquisitions plus petites, notamment aux Etats-Unis, qui devraient se concrétiser d'ici quelques mois ».
En tous cas, le britannique et sa cyber héroïne suscitent les convoitises, même si les prédateurs jugent sa valorisation actuelle trop chère. La rumeur a également déjà fait état de l'intérêt de l'autre éditeur français Infogrames, même si son PDG, Bruno Bonnell, répète à chaque rumeur qu'il ne rachètera Eidos que « dans des conditions favorables aux actionnaires d'Infogrames ».
Lequel des deux rivaux français mettra la main sur le créateur de Lara Croft ? « Qu'Infogrames nous souffle Eidos fait partie des risques du métier », estime-t-on chez Ubi Soft. A suivre donc...