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Il se connecte à la source des données au moyen d'une connexion Wi-Fi, mais il se fait passer pour un support de stockage de masse standard auprès du dispositif cible auquel il est branché. Celui-ci n'a donc besoin d'aucun pilote ou d'aucune autre prédisposition que de prendre en charge une clé USB.
Au premier déballage, il suffit de positionner l'interrupteur de la clé USB sur la position « appairer » et de la connecter à un ordinateur doté d'une connectique Wi-Fi. Le logiciel maison Infinite Portal est alors automatiquement installé puis associé, et ce de manière exclusive, à cette clé. Il permet de sélectionner quels fichiers et quels dossiers partager.
L'interrupteur de retour sur la position « Infinite », la clé USB peut dès lors être connectée à toutes sortes de périphériques : à un lecteur multimédia de salon, une chaine Hi-Fi ou un cadre photo numérique par exemple, pour y lire vidéo, musique ou photo, ou encore à une imprimante, pour y imprimer des photos.
En attendant la commercialisation effective de cet « Infinite USB memory device », à une date et pour un prix encore inconnus, Infinitec n'a malheureusement pas cru bon de préciser quelle norme Wi-Fi il embarquait, ni avec quels systèmes d'exploitations le logiciel de partage était compatible.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique. Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit. Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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