Panasonic profite à son tour du CES 2010 pour renouveler sa gamme d'appareils photo numériques compacts. On ne change pas une équipe qui gagne et le leader de ce marché est cette année resté sur ses acquis, se contentant de mises à niveau qui font malheureusement perdurer la vaine course aux millions de pixels. Les progrès réalisés en traitement d'image sauront-ils compenser la montée du bruit induite par cette augmentation de la densité de pixels ?
Bien qu'ils soient deux compacts abordables, les Lumix FS10 et FS11 abritent des capteurs CCD de respectivement 12 et 14 millions de pixels. Ils filment en MJPEG en haute définition 720p, partagent un écran de 2,7 pouces à 230 000 points, une puce de traitement Venus Engine IV, le mode auto intelligent et un zoom 5 fois, stabilisé et grand angle, équivalent à un 28-140 mm.
Crédit photos : DPReview.com
Dans la famille Lumix, je voudrais l'ultrafin. Le Lumix FP1 fait effectivement appel à un zoom périscopique 4 fois, qui manque de recul avec son équivalence 35-140 mm, pour une épaisseur inférieure à 2 cm. Le FP1 bénéficie d'un capteur de 12 millions de pixels et arbore un écran de 2,7 pouces affichant 230 000 points. Puce de traitement de quatrième génération, automatismes et vidéo haute définition sont toujours de la partie.
Le FS30 dispose quant à lui d'un confortable zoom 8 fois équivalent à un 28-224 mm. Il dispose du capteur de 14 millions de pixels et de l'écran de 2,7 pouces. Son boitier mesure environ 3 cm d'épaisseur.
Tous ces appareils photo seront commercialisés en France à partir du mois de février. Le Panasonic Lumix FS10 sera disponible en noir, rose, bleu ou orange pour 150 euros, le FS11 en noir, rouge, bleu ou rose pour 180 euros, le FP1 en noir, rose, bleu ou orange pour 180 euros également et enfin le FS30 en noir ou violet pour 200 euros.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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