La convergence numérique est une tendance de fond dans le domaine de l'électronique grand public qui s'intensifie d'année en année. C'est ainsi aujourd'hui au tour du cadre photo numérique, qui n'en aura bientôt plus que le nom, de se connecter à internet. HP lance effectivement la gamme DreamScreen, dotée d'écrans tactiles et d'une riche connectique, qui offre des fonctions annexes.
Ces cadres photo numérique offrent effectivement une connectique réseau (Ethernet ou WiFi) en plus de l'inévitable lecteur multicarte et des ports USB. Non content d'afficher des photos depuis une carte mémoire ou une clé USB, il permet donc d'afficher les photos stockées sur un ordinateur connecté au réseau local, mais aussi et surtout les clichés hébergés sur Facebook ou sur le service maison Snapfish. Flickr, Picasa Web Albums et consort brillent malheureusement par leur absence.
Sur le plan multimédia, il offre aussi la possibilité d'écouter 10 000 webradios ou le service de musique à la demande Pandora, réservé aux résidents américains, au travers du haut-parleur qu'il intègre ou d'un système son externe via la sortie casque. Gageons qu'un service accessible en France tel Deezer ou Spotify sera intégré à la version européenne.
Cette nouvelle gamme de cadres photo numérique connectés se décline en deux diagonales. Le HP DreamScreen 100 dispose d'un écran de 10,2 pouces tandis que le DreamScreen 130 grimpe à 13,3 pouces, leur définition n'est pas précisée. Ils sont respectivement proposés aux prix public de 250 et 300 dollars aux États-Unis, avec un lancement imminent en France à des prix encore inconnus.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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