Présentée lors du Macworld 2009 à San Francisco en début d'année, la nouvelle suite logicielle iLife '09 d'Apple est désormais disponible. Elle comprend notamment le logiciel de montage grand public iMovie '09.
La nouvelle mouture de ce logiciel réputé pour sa simplicité d'utilisation introduit notamment une technologie de stabilisation vidéo numérique. En se référant à certains éléments et en analysant l'amplitude du mouvement de la caméra, le logiciel serait capable de stabiliser le plan, au prix d'un certain temps de calcul et d'un recadrage de l'image.
Les premiers retours ne sont pas très concluants. À en croire la liste des caméscopes supportés publiée dans la zone support du site d'Apple, la fonction de stabilisation produirait des résultats très mitigés avec de très nombreux modèles. Le fonctionnement des capteurs CMOS, de plus en plus répandus, rendrait le procédé inefficace.
La capture par balayage (dite rolling shutter) de la plupart de ces capteurs, opérant en plusieurs passes sur un certain laps de temps et non en une seule fois, provoque des distorsions qui sont amplifiées par le système de stabilisation d'iMovie. Les mouvements rapides, qui bénéficient tout particulièrement de ce dernier, sont d'autant plus concernés.
La stabilisation optique reste donc plus efficace, reste ensuite à rester stable au moment de la prise de vue.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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