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L'Education nationale a confirmé mercredi qu'elle proposera aux étudiants, en partenariat avec les universités et le privé, des Ordinateurs Portables "à crédit".
Dans un entretien publié jeudi dernier par le quotidien Les Echos, le ministre de l'Education nationale, François FILLON, a indiqué que les étudiants inscrits dans les universités françaises vont pouvoir s'équiper d'ordinateurs portables "à crédit", dans le cadre d'un partenariat public/privé.
"Dès septembre 2004, nous proposerons en partenariat avec les constructeurs, les éditeurs de logiciels, les banques et les universités, un ordinateur portable à crédit, pour 1 euro par jour, soit le prix d'un café", a affirmé François FILLON.
Le ministre n'a pas précisé l'identité des partenaires en question, le matériel envisagé, la location ou l'achat de l'ordinateur, pas plus que le coût total du PC/Mac.
Toutefois, étudiants réjouissez-vous, le ministre de l'Education nationale a déclaré que les bénéficiaires de l'offre sur les campus équipés de bornes Wifi, pourront accéder gratuitement à l'Internet haut débit sans fil.
Le 23 juin 2004, François FILLON a confirmé le lancement de cette offre pour la prochaine rentrée universitaire. Dans le cadre du plan national de lutte contre la fracture numérique, "chaque étudiant pourra bénéficier d'un ordinateur portable, d'une offre logicielle complète et d'un accès gratuit à Internet dans son université pour un euro par jour", a insisté le ministre.
L'offre devrait être progressivement étendue à l'ensemble des universités publiques de France, toutes équipées WiFi d'ici la rentrée 2005.
Parallèlement à ce projet ambitieux, mais à préciser, Reuters a rapporté que le gouvernement travaille actuellement "à la mise en place de dix grandes universités numériques thématiques."
L'université française va-t-elle enfin établir une passerelle avec le monde de l'entreprise et s'engager sur le marché du savoir numérique, "marché que les grandes universités anglo-saxonnes occupent d'ores et déjà", a ajouté le ministre de l'Education nationale.
Sur ce sujet, il faut préciser que les frais d'inscription dans une "grande université américaine", privée par conséquent, telle NYU, Columbia à New York City ou encore Harvard dans le Massachusetts, peuvent atteindre la somme de 20 000 dollars l'an - des aides étant heureusement proposées à certains étudiants -
Dans un entretien publié jeudi dernier par le quotidien Les Echos, le ministre de l'Education nationale, François FILLON, a indiqué que les étudiants inscrits dans les universités françaises vont pouvoir s'équiper d'ordinateurs portables "à crédit", dans le cadre d'un partenariat public/privé.
"Dès septembre 2004, nous proposerons en partenariat avec les constructeurs, les éditeurs de logiciels, les banques et les universités, un ordinateur portable à crédit, pour 1 euro par jour, soit le prix d'un café", a affirmé François FILLON.
Le ministre n'a pas précisé l'identité des partenaires en question, le matériel envisagé, la location ou l'achat de l'ordinateur, pas plus que le coût total du PC/Mac.
Toutefois, étudiants réjouissez-vous, le ministre de l'Education nationale a déclaré que les bénéficiaires de l'offre sur les campus équipés de bornes Wifi, pourront accéder gratuitement à l'Internet haut débit sans fil.
Le 23 juin 2004, François FILLON a confirmé le lancement de cette offre pour la prochaine rentrée universitaire. Dans le cadre du plan national de lutte contre la fracture numérique, "chaque étudiant pourra bénéficier d'un ordinateur portable, d'une offre logicielle complète et d'un accès gratuit à Internet dans son université pour un euro par jour", a insisté le ministre.
L'offre devrait être progressivement étendue à l'ensemble des universités publiques de France, toutes équipées WiFi d'ici la rentrée 2005.
Parallèlement à ce projet ambitieux, mais à préciser, Reuters a rapporté que le gouvernement travaille actuellement "à la mise en place de dix grandes universités numériques thématiques."
L'université française va-t-elle enfin établir une passerelle avec le monde de l'entreprise et s'engager sur le marché du savoir numérique, "marché que les grandes universités anglo-saxonnes occupent d'ores et déjà", a ajouté le ministre de l'Education nationale.
Sur ce sujet, il faut préciser que les frais d'inscription dans une "grande université américaine", privée par conséquent, telle NYU, Columbia à New York City ou encore Harvard dans le Massachusetts, peuvent atteindre la somme de 20 000 dollars l'an - des aides étant heureusement proposées à certains étudiants -
