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Le numéro deux mondial de la distribution a pris 20% du réseau de guides locaux WebCity, crée en 1998 par Alexandre DREYFUS.
Crée en 1998 par Alexandre DREYFUS, un jeune lyonnais qui avait déjà fait ses preuves sur les bbs de son lycée, WebCity est considéré comme l'une des premières start-up françaises. Se présentant comme un guide local, WebCity dispose actuellement de plus de 37 implantations en France et d'un réseau de partenaires pan européen. Mais face à la concurrence de la presse quotidienne régionale, de nouveaux entrants ou de portails culturels plus légitimes sur chaque thématique, le portail n'annonce que 2.5 millions de pages vues par mois et 200.000 visiteurs uniques, malgré un certain nombre d'opérations de communication comme le sponsoring de l'émission Nulle part Ailleurs. Le réseau de guides urbains a néanmoins réussit à convaincre Carrefour, le numéro 2 mondial de la distribution, d'investir à hauteur de 20% de son capital. Un partenaire de poids qui devrait donner un second souffle à WebCity en jouant sur la synergie entre le portail d'informations et le cybercommerçant. En avance sur le WAP, WebCity croit voir dans le couplage de la localisation et du commerce l'une des futures "killer apps" de la neteconomie mobile.
Crée en 1998 par Alexandre DREYFUS, un jeune lyonnais qui avait déjà fait ses preuves sur les bbs de son lycée, WebCity est considéré comme l'une des premières start-up françaises. Se présentant comme un guide local, WebCity dispose actuellement de plus de 37 implantations en France et d'un réseau de partenaires pan européen. Mais face à la concurrence de la presse quotidienne régionale, de nouveaux entrants ou de portails culturels plus légitimes sur chaque thématique, le portail n'annonce que 2.5 millions de pages vues par mois et 200.000 visiteurs uniques, malgré un certain nombre d'opérations de communication comme le sponsoring de l'émission Nulle part Ailleurs. Le réseau de guides urbains a néanmoins réussit à convaincre Carrefour, le numéro 2 mondial de la distribution, d'investir à hauteur de 20% de son capital. Un partenaire de poids qui devrait donner un second souffle à WebCity en jouant sur la synergie entre le portail d'informations et le cybercommerçant. En avance sur le WAP, WebCity croit voir dans le couplage de la localisation et du commerce l'une des futures "killer apps" de la neteconomie mobile.
