Luxe, joaillerie, élégance, glamour, féminité... Ce sont ces mots-clés que la nouvelle marque Sugar associe à son premier téléphone : un « smartphone prestigieux au féminin », serti de cristaux Swarovski. Elle n'en demande pourtant pas plusieurs milliers d'euros, mais seulement 400.
129 cristaux et de beaux selfies
Le Sugar allie joaillerie et technologie. Il est effectivement serti à la main, non pas de véritables diamants comme sur certains téléphones de fabricants comme Vertu, mais de 129 cristaux zircon Swarovski de 5,1 carats.
Il arbore également un bel écran Full HD de 5 pouces à dalle IPS, recouvert de verre Corning Gorilla Glass 2, ainsi qu'un capteur frontal à 8 millions de pixels, associé à une fonction « face beauty » pour réaliser de beaux selfies, en plus d'un dorsal CMOS rétro-exposé à 13 millions de pixels.
C'est par ailleurs un smartphone assez banal, abritant une puce MediaTek à quatre cœurs ARM Cortex-A7 à 1,5 GHz, 2 Go de mémoire vive, 16 Go de mémoire interne et une connectivité cellulaire 3G+ (jusqu'à 42 Mb/s), mais malheureusement pas 4G. Il repose sur Android 4.2.2, avec une interface personnalisée inspirée du cristal.
144 x 72,5 x 8,2 mm pour 152 g
Sugar, la sœur de Wiko
Lancée cette semaine conjointement à son premier smartphone, Sugar invente le smartphone de luxe low cost. Supposée incarner « la haute couture du smartphone français », cette nouvelle marque n'est en fait qu'une filiale du groupe chinois Tinno, tout comme Wiko. Un porte parole de la marque nous assure néanmoins que le positionnement des deux marques — low cost pour l'un, luxe pour l'autre — sont bien distincts, tout comme les équipes.
Quoi qu'il en soit, après avoir été réservé quelques temps à la Chine puis à la Russie, le Sugar sera prochainement disponible en France au prix public de 400 euros.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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