Toshiba a annoncé vendredi dernier le renouvellement de sa famille de portable ultrafin. Le nouveau Satellite T230 succède ainsi à un premier modèle lancé à l'occasion de l'essor de cette catégorie d'ordinateur portable à mi-chemin entre le netbook et le PC portable conventionnel.
Le Toshiba Satellite T230 adopte à son tour la dernière génération de composants en date en passant de la plateforme Penryn à la plateforme Arrandale. Celle-ci marque pour rappel le passage d'une solution à trois puces (comportant processeur, northbridge et southbridge) à une solution à deux puces, ainsi que le passage du procédé de fabrication en 45 nm à celui en 32 nm pour le CPU. Ce sont autant de facteurs qui permettent d'en réduire la dissipation thermique, pour une ventilation plus silencieuse, ainsi que la consommation électrique, pour une meilleure autonomie.
Le nouveau modèle abrite donc un processeur à basse tension Intel Pentium U5400 (cadencé à 1,20 GHz et muni de 3 Mo de mémoire cache), associé à une puce graphique Intel GMA assurant le décodage matériel de la vidéo haute définition, à un chipset Intel HM55 et épaulé par jusqu'à 8 Go de mémoire vive DDR3 fonctionnant à 1 066 MHz. Le stockage est assuré par un disque dur d'une capacité de jusqu'à 500 Go, la machine étant par ailleurs dépourvue d'unité optique intégrée. On retrouve pêle-mêle du HDMI, du Wi-Fi N ou du Bluetooth (en option pour ce dernier) du côté de la connectique.
Le Satellite T230 s'articule autour d'un écran WXGA à rétro-éclairage à LED de 13,3 pouces et embarque une batterie « longue durée » lui conférant une autonomie annoncée de 8 heures et demie. Dans cette configuration il mesure 34 mm d'épaisseur au point le plus épais pour un poids de 1,76 kg.
Le prix et la date de commercialisation de ce Toshiba Satellite T230 ne sont pas encore connus mais nous ne manquerons pas de mettre à jour l'actualité en temps voulu.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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