Les opérateurs de téléphonie mobile historiques ont récemment annoncé tour à tour la disponibilité de la 4G+ dans leurs forfaits traditionnels. Mais qu'en est-il de leurs divisions low cost ?
Sosh a annoncé hier la disponibilité de la 4G+ pour son offre. L'occasion de faire le point sur la concurrence.
Sosh
Après quelques mois d'exclusivité pour sa maison mère Orange, Sosh propose à son tour la 4G+ à ses clients. Elle est accessible sans surcoût et automatiquement aux bénéficiaires d'une offre incluant de la 4G, c'est-à-dire avec les forfaits à 20 ou 25 euros et avec leurs équivalents quadruple play mobile + Livebox.
Naturellement la couverture est celle d'Orange. Le calendrier de déploiement n'a pas évolué, mais depuis sa publication la 4G+ a été mise en service à Paris, en complément de Strasbourg et de Toulouse.
B&You
L'offre B&You quant à elle a profité de la souplesse habituelle de Bouygues Telecom en matière de 4G. L'opérateur ne fait pas de rétention au détriment des clients de sa division low cost, qui ont obtenu l'accès à la 4G+ simultanément aux détenteurs de forfaits traditionnels, c'est-à-dire dès le mois de juin.
Premier à avoir mis en service la 4G+, Bouygues Telecom couvre dès à présent au moins les 16 villes les plus peuplées de France.
Red de SFR
Enfin SFR ne réserve pas non plus la 4G+ à certains de ses clients, les bénéficiaires d'une offre Red incluant de la 4G y ont donc droit. Il faut dire que l'opérateur ne couvre pour l'heure qu'une seule petite ville, Toulon, 15e ville la plus peuplée du pays.
4G+ est pour rappel l'appellation commerciale retenue par les opérateurs pour désigner le LTE Advanced (LTE-A). Cette technologie est à la 4G ce que la H+ est à la 3G : elle permet aux (rares) terminaux compatibles d'agréger plusieurs bandes de fréquences et donc d'augmenter les débits. Le maximum théorique est de 187,5 Mb/s chez SFR et de 225 Mb/s chez Bouygues Telecom et Orange, en raison de largeurs de bandes plus ou moins importantes.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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