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L'opérateur historique helvétique et son homologue belge ont annoncé mercredi le rapprochement de leurs activités internationales "wholesale".
Le mouvement de concentration des télécoms gagne l'Europe. Le 23 février 2005, l'opérateur historique helvétique et son homologue belge, Belgacom, ont annoncé le rapprochement de leurs activités internationales "wholesale" à travers la création d'une coentreprise.
Détenue à 72% par Belgacom et à 28% par Swisscom, cette nouvelle entité basée à Bruxelles sera chargée de la vente en gros d'interconnexions (voix et données) aux opérateurs alternatifs.
"Le marché international des activités wholesale doit faire face à une concurrence acharnée, à des surcapacités notoires, à une pression élevée sur les prix", soulignent les deux opérateurs dans un communiqué.
Pour Belgacom (www.belgacom.be) et Swisscom (www.swisscom.com), la solution réside dans la mise en oeuvre de synergies et la création d'une joint-venture compétitive au plan international.
Bien entendu une telle opération ne se fait pas sans casse. Elle devrait entraîner le suppression d'une centaine de postes ces trois prochaines années chez Swisscom.
Entérinée par les conseils d'administration des deux sociétés, l'opération doit obtenir le feu vert des autorités belges et helvétiques de la concurrence.
Le mouvement de concentration des télécoms gagne l'Europe. Le 23 février 2005, l'opérateur historique helvétique et son homologue belge, Belgacom, ont annoncé le rapprochement de leurs activités internationales "wholesale" à travers la création d'une coentreprise.
Détenue à 72% par Belgacom et à 28% par Swisscom, cette nouvelle entité basée à Bruxelles sera chargée de la vente en gros d'interconnexions (voix et données) aux opérateurs alternatifs.
"Le marché international des activités wholesale doit faire face à une concurrence acharnée, à des surcapacités notoires, à une pression élevée sur les prix", soulignent les deux opérateurs dans un communiqué.
Pour Belgacom (www.belgacom.be) et Swisscom (www.swisscom.com), la solution réside dans la mise en oeuvre de synergies et la création d'une joint-venture compétitive au plan international.
Bien entendu une telle opération ne se fait pas sans casse. Elle devrait entraîner le suppression d'une centaine de postes ces trois prochaines années chez Swisscom.
Entérinée par les conseils d'administration des deux sociétés, l'opération doit obtenir le feu vert des autorités belges et helvétiques de la concurrence.