Sony profite également du CES 2012 pour renouveler sa montre Bluetooth. La nouvelle « SmartWatch » succède donc cette année à la LiveView. Le « SmartHeadset » en est une variante baladeur musical miniature.
Le principal apport de la « Sony SmartWatch » est l'écran tactile multipoint. Sur le précédent modèle seules les bordures étaient sensitives, et étaient par conséquent associées à quatre boutons physiques.
On dispose donc désormais d'une interface comparable à celle de l'iPod Nano d'Apple, avec des icônes et des widgets. De quoi prendre connaissance du nom de l'appelant, lire ses derniers SMS et y répondre par des messages prédéfinis, ou consulter la météo, les derniers titres d'un flux RSS ou les dernières publications sur Facebook et Twitter. Le tout sans sortir son smartphone de sa poche.
Pour ce faire, elle se connecte à n'importe quel smartphone Android exécutant l'application « LiveWare », au moyen d'une connectivité Bluetooth 3.0. Elle n'adopte malheureusement pas le Bluetooth Smart, qui aurait permis de bénéficier d'une bien meilleure autonomie que les « deux à quatre jours » annoncés.
Le « Sony SmartHeadset », à clipser sur le revers d'un vêtement, se contente quant à lui d'un écran non tactile monochrome mais offre malgré tout quelques unes des fonctions de la SmartWatch susmentionnée, à l'aide de boutons physiques, évinçant principalement les widgets.
Il offre en contrepartie des fonctions musicales, en lisant de la musique depuis n'importe quel appareil Bluetooth Stereo (A2DP) mais aussi de manière autonome depuis une carte microSD. Il dispose pour ce faire d'une sortie casque standard au format 3,5 mm.
La « Sony SmartWatch » et le « Sony SmartHeadset » sont tous deux attendus à la fin du premier trimestre 2012 au prix public de 150 dollars. Aucune information n'a été communiquée quant à leur commercialisation en Europe.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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