Ce « malware défensif » devrait être capable de non seulement détecter une attaque mais également de localiser la source et neutraliser le programme. Il pourrait donc équiper certains réseaux sensibles de ministères ou d'organismes officiels. Par contre, le Yomiuri Shimbun ajoute qu'à l'heure actuelle, la législation du pays ne permet pas encore de mettre en place effectivement ce type d'arme numérique.
Une modification législative pourrait donc autoriser l'utilisation de ce type de programme. C'est pourquoi le malware est actuellement testé en circuit fermé afin de pouvoir connaître son efficacité.